Aujourd’hui sur le pod, épisode solo pour célébrer le 100e épisode de SaaSpasse. Unreal.
Mais surtout pour prendre le temps de se poser. Récapituler, réfléchir, et tracer un peu de l’avenir.
Je couvre plusieurs points, comme :
Si tu peux partager ça à une personne dans ton entourage, t’as pas idée comment ça peut nous aider!
Un énorme merci à mes fournisseurs certifiés, mes SaaSpasse day one :
C’est un privilège de vous avoir comme partenaires, et d’être votre client. Vous m’inspirez et m’éduquez constamment.
Et à tous mes collaborateurs chez notre employeur certifié Coveo :
Puis à tous les auditeurs qui nous écoutent au gym, en char, en joggant, en marchant votre chien, à job peut-être même… merci. Je le sais que y’a des vraies personnes avec des vrais idées & sentiments derrière les stats du pod, et ça me fait chaud au coeur de vous éduquer, inspirer, divertir chaque semaine. Brace yourselves pour une autre centaine d’épisodes, on s’en va nulle part.
Ah, pis on a mis du petit motion design dans la version vidéo + j’ai un t-shirt trop grand de Metal Gear Solid, donc YT vaut la peine.
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Cool SaaS peeps mentionnés :
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Crédits musique
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Si vous faites partie d’un SaaS québécois, allez sur saaspasse.com, cliquez sur le bouton “Ajoutez votre SaaS” pour être indexé dans notre répertoire.Suivez-nous sur LinkedIn et Instagram pour des updates sur le projet + les nouveaux épisodes du podcast & événements.
François Lanthier Nadeau:Oui, le pire qui peut arriver, c'est que j'ai vraiment fuck up toute la richesse que j'ai accumulée avec la vente de Snipcard. Ça peut arriver, ça. Mais je pense que d'essayer de construire une compagnie et de faire ce que je fais là, c'est worth. Ça vaut ce risque-là. On a écrit le mot de samedi soir, on a écrit le champagne sous vide. J'ai pas réussi avec moi, mais je te parle avec le sourire. J'ai tant qu'un coup, on les a faits, je repars avec mes souvenirs. Je vais continuer de vivre cette life jusqu'à mon dernier sourire. What's up folks, c'est François Lanthier Nadeau, bienvenue sur SaaSpasse mon chance de croître un SaaS ou une carrière en SaaS au Québec. Si vous aimez le show, abonnez-vous et laissez-nous un review sur Spotify ou Apple Podcasts pour ne pas manquer un épisode. On va feature les reviews écrits de Apple Podcasts sur notre site web. On drop un épisode semaine minimum, juste des discussions sans fil avec founders ou joueurs clés en SaaS. Assurez-vous d'ailleurs que votre SaaS est licité sur SaaSpasse il y a un beau bouton mauve, il y a bientôt 300 compagnies d'affichés. Si vous cherchez un emploi ou un employé en SaaS au Québec, allez sur Saasforce.Com slash emploi avec un S, notre job board. By the way, notre employeur certifié Coveo a de sacrés beaux postes d'affichés en dev, produits, marketing, ventes. Check it out. Le prochain event de Saasforce.Com aura lieu jeudi le 5 septembre à Montréal chez Coveo avec Sheila Morin, la CMO. On va jaser scaling des ventes et du marketing et puis branding en SaaS. Les billets sont dispos sur Evenbride puis il y a la bannière sur notre site ou en show notes. Joël ? La première joueuse full patch, SaaSpasse, et puis moi-même, avons bien hâte de voir le monde. On est en ligne pour être sold out, donc let's go, achetez vos billets, puis faites-nous plaisir, amenez quelqu'un qui ne connaît pas la communauté encore. OK, prochaine retraite privée pour fondateurs SaaS, c'est 18, 19, 20 octobre. On cherche des founders entre 100 000 à 1 million de revenus annuels récurrents pour celle-là. Il y a 10 places disponibles maximum. Il y a déjà quelques personnes intéressées. mais vous pouvez appliquer sur sasport.com slash reprête avec un S. Si vous connaissez des founders intéressants, écrivez-nous sur LinkedIn ou francois.sasport.com. On va mettre un loom avec les détails dans les show notes aussi. On est en saison de renouvellement et de vente pour les partenariats certifiés 2025. Il y a déjà une couple de fournisseurs, employeurs et même des produits, donc des SaaS qui m'ont contacté. Si ça vous intéresse, écrivez-moi sur LinkedIn ou à francois.sasport.com. Toutes les news sur le pod, les partnerships, les événements, la plateforme web. Ça sort sur LinkedIn, mais aussi sur notre infolettre. Donc, suivez-nous sur LinkedIn, puis allez dans le bas de la homepage sasface.com pour vous abonner à l'infolettre dans le call to action qui est là. OK. Aujourd'hui sur le pod, épisode solo pour célébrer le centième épisode de SaaSpace Unreal. Et surtout pour prendre le temps de se poser, de récapituler, réfléchir, puis de tracer un peu l'avenir. Je couvre plusieurs points comme un mini-retour sur l'origine story de SaaSpasse pour les nouveaux, quelques métriques le fun sur l'audience, le reach, la croissance du projet, les prochaines étapes court terme comme la communauté en ligne et la conférence annuelle, mes réflexions sur construire du média et de l'industrie du SaaS au Québec, pourquoi je dis une don ou j'ignore certaines requêtes pour venir sur le pod, le genre de Pokémon qu'on veut rattraper, ma vision entrepreneuriale personnelle. Les objectifs, principes, stratégies et futures compagnies à construire. Les différents joueurs qui ont aidé à construire SaaSpasse. L'arrivée de Joël, qui est la première employée officielle de SaaSpasse. Les calls to action bien précis sur comment aider le projet à grandir. Si tu peux d'ailleurs partager ça à une personne dans ton entourage, vous n'aurez pas idée à quel point ça peut nous aider. Je veux aussi dire un énorme merci à mes fournisseurs certifiés, mais SaaSpasse Day One. Donc Baseline, David Beauchemin, ICU. Le chiffre. Jean-Gab Olivier Thomas-Louis Lafleur, I see you. Léviat Légal, Guillaume Falardeau, PO de serre, I see you. Honnêtement, c'est un privilège de vous avoir comme partners, puis d'être votre client aussi souvent. Vous m'inspirez et vous m'éduquez constamment. Puis à tous mes collaborateurs chez notre employeur certifié Coveo, merci de supporter un projet indie comme SaaSpasse, d'offrir des carrières de feu dans un scale-up bien fini. Au-delà de votre logo, mes discussions avec votre team sont dans les plus le fun que j'ai. Et sinon, à tous les auditeurs qui nous écoutent au gym, en char, en joguant, en marchant votre chien à job, peut-être même, merci aussi. Je sais qu'il y a des vraies personnes avec des vraies idées et sentiments derrière les stats du pod, et ça me fait chaud au cœur de vous éduquer, de vous inspirer, de vous diverser chaque semaine. Brace yourselves pour un autre centaine d'épisodes, on s'en va nulle part. Ah, puis on a mis du petit motion design dans la version vidéo, et j'ai un t-shirt trop grand de Metal Gear Solid, donc la version YouTube vaut la peine. On passe au show, let's fucking go Sans épisode Je ne peux pas m'enlever, respecte-moi, Parce que, comme moi, j'ai vécu cette semaine, j'ai cru comprendre qu'il y avait des rappels de Santé Canada sur certains produits. Non, je vous dis de vous prendre un petit breuvage parce que je vais prendre mon temps. Fait que, à tous ceux qui m'ont dit... François c'est vraiment bon, SaaSpasse, mais si tu pouvais faire ça un peu plus snappy, plus court, moins long, les épisodes, sachez que je vous entends, sachez que j'ai pris votre feedback, mais que je ne l'implémenterai pas. Du moins, pas pour celui-là. Pour ceux que c'est la première fois qu'ils écoutent SaaSpasse peut-être que le centième, ça aura fait du bruit ou les trois chiffres, ça aura fait que vous avez le goût d'écouter le pod parce qu'à partir de 100 épisodes, c'est sérieux, je ne sais pas. Je vais faire un petit genre. Who the fuck is François ? Puis what the fuck est-ce que SaaSpasse ? Fait que pour ceux qui ne me connaissent pas, François Lantier-Nadeau, je suis le ex-CEO chez Snipcard. Snipcard c'était un panier d'achats pour programmeurs. C'est un SaaS startup qu'on a bootstrapé à Québec, puis qu'on a vendu à Duda D-U-D-A. C'est un CMS pour agence, grosso modo. Eux voulaient, c'est un achat stratégique. Ils voulaient notre team. Ils voulaient notre tech, puis on avait aussi au-dessus d'un million de revenus annuels récurrents US qui aidaient à adoucir l'acquisition. Fait qu'on a vendu ça en 2021, puis moi, avant ça, ma carrière, c'était mostly chez Snipcard en marketing, en produit, puis en gestion. Fait que c'est un peu le background que moi j'ai. Toutes ces histoires-là sont racontées d'une manière ou d'une autre sur mon blog perso, fLanthier Nadeau.com, si ça vous intéresse. Maintenant, what the fuck est-ce que SaaSpasse ? SaaSpasse, c'est ce qui s'est passé après mon exit. Fait que moi, j'ai raconté cette histoire-là de la vente de Snipcard à qui voulait l'entendre. J'ai été sur des podcasts, j'ai blogué là-dessus, j'en ai parlé dans des repas. Puis ensuite, ce que ça a fait, c'est que ça a créé un inbound carrément de fondateurs du Québec qui voulaient m'en parler pour une raison ou une autre. Puis à travers ces discussions-là, puis comme ce bump de réseau-là, j'ai comme flashé qu'il y avait une quantité de SaaS. beaucoup plus grande que ce que je pensais au Québec. Puis aussi, qu'il y avait des histoires puis du potentiel qui valait la peine d'être raconté puis d'être mis sous lumière. Fait que j'avais comme un motton, un coussin financier avec la vente de Snipcard. Puis je me suis dit, OK, je pense que c'est le temps de faire ce que j'ai toujours voulu faire, c'est-à-dire un podcast. Mais j'avais jamais eu le temps de faire ça chez Snipcard. Fait qu'au début, c'était comme Passion Project. Je pensais que ça serait juste ça. hobby quasiment. Puis rapidement, j'ai comme pris goût. Il y a eu un certain engouement qui s'est construit. Puis j'ai réalisé que ça pouvait être tourné dans une compagnie indépendante puis profitable. Fait que c'est ça que c'est. Aujourd'hui, SaaSpasse, right ? On a le podcast hebdo, les événements presque mensuels, où est-ce qu'on enregistre un podcast live devant l'audience. On a des retraites privées pour fondateurs SaaS. On a une plateforme web qui répertorie les SaaS du Québec, puis qui liste des partners de choix certifiés par notre team pour les SaaS. Puis un job board aussi. Fait que grosso modo, c'est ça, SaaSpasse. Notre mission, c'est vraiment d'élever les SaaSes du Québec à un autre niveau, leur donner plus de visibilité, plus de chances d'avoir du financement, plus de chances d'embaucher du monde de talent. Puis à un niveau aussi un petit peu plus macro, la mission, c'est aussi d'amener plus de monde de professionnels de qualité dans notre industrie parce que ces belles compagnies de tech-là, ils se construisent pas juste avec des founders, avec des belles idées, puis des beaux pitch decks, ils se construisent avec des employés de feu. qui veulent faire carrière là-dedans. Fait que c'est pas mal ça, la mission de SaaSpasse créer genre la plateforme de contenu pis la communauté que j'aurais voulu avoir en français pendant que je grandissais dans ma propre carrière SaaS. Alright. Fait que pour tous ceux qui le connaissaient déjà, c'est comme alright, get to the point. Je me suis dit qu'on allait commencer ce centième épisode-là avec un petit overview de certaines métriques clés de SaaSpasse. Donc, sans plus tarder, j'y vais. jusqu'à présent, ça fait 18 mois pour Contexte, au moment où j'enregistre ça. J'enregistre ça fin juillet, puis ça devrait sortir le 22 août. En ce moment, on a généré 40 000 écoutes et vues du podcast. En termes de portée sur les médias sociaux, l'infolettre, le site web, on a dépassé le 300 000. Juste les visites sur le site, on est autour de 20 000. Les abonnés à travers les différentes plateformes, on est autour de 3 000. Plus de 3000. Puis là, je vais vous faire une espèce de suite de chiffres en ordre décroissant qui va du plus gros au plus petit. Fait qu'il y a à peu près 300 SaaSes qui sont listées. La dernière fois que j'avais checké, c'était genre 294. Fait que 300 SaaSes listées sur le répertoire, ça, c'est SaaSpasse.com direct. Il y a 100 épisodes du pod. Il y a eu à peu près, j'ai checké mon calendrier, j'ai fait une couple d'estimations puis de règles de... Pas des règles de 3, mais genre des maths de napkins. Fait que prenez ça avec un grain de sel. Mais à peu près 100 repas ou appels avec des founders, au moins sur ces 18 mois-là. Ça fait partie de la mission, right ? Genre connecter avec des founders existants, pogner des updates, essayer de les aider, de les plugger avec du monde ou des tools intéressants, mais aussi rencontrer des nouveaux founders, les amener dans la communauté, leur shooter du contenu qui peut être utile ou leur suggérer des relations ou des services qui peuvent être utiles. Ça fait que c'est une grosse partie de ma job. C'est énergivore un peu, mais j'aime vraiment ça. C'est vraiment du monde avec qui j'aime chiller. C'est du monde avec qui j'aime converser. Ça ne se sent pas nécessairement comme une job. Sinon, live sur le job board, on a une trentaine de postes d'affichés. SaaSpasse.com slash emploi avec un S. Puis en tout, on en avait eu le double d'affichés, je pense, total. Je n'ai plus le chiffre exact. Sinon, on a fait 10 events. En fait, quand ça va sortir... Une semaine et demie plus tard, on en a fait dix. Dix événements live qui ont presque tous été sold out. Il y a eu cinq contractants différents qui nous ont aidés à construire SaaSpasse d'une manière ou d'une autre. Shout out à François Douville, studio Apple 13, qui ont fait notre MVP et notre plateforme en no code. C'est malade. Il y a eu Olivier Côté-Métaud au niveau de la captation et de l'édition audio. Émile David, même chose, mais pour vidéo. Il y a eu... Vince Pelletier qui a fait du design et puis Sébastien Laliberté qui a fait du vidéo. Si j'oublie un contractant, s'il vous plaît, excusez-moi, puis je l'ajouterai dans les show notes ou whatever. Sinon, pour l'année 2024, on avait quatre partenaires certifiés. Le Chiffre, Léviat, Baseline puis Coveo. Je pourrais en parler plus tard un peu. Puis finalement, on a organisé une retraite privée pour fondateurs. SaaSpasse en avril, qui est super bien été. Il y en a une autre qui s'en vient. Au mois d'octobre. Et puis, on a une employée full-time, full-patch. SaaSpasse. Ça fait que ça, c'est un gros milestone pour moi. Je suis assez fier. Joël Arsenault. Vous pouvez aller la check-out sur LinkedIn. Vous allez la voir passer de plus en plus. Elle est cachée en ce moment à peu près là. Mais vous ne pouvez pas voir parce qu'elle n'est pas dans la caméra. All right. Ça fait que ça, c'est un peu le gros overview. Je vais en profiter. Pour faire un récapitulatif de certains apprentissages, certains doutes, certains trucs un peu plus personnels aussi. On retrace le passé, mettons, puis après ça, je vais pouvoir ouvrir sur le futur. J'ai pris la peine de travailler avec Marc Zalzal, qui est un d'autres qui travaillait avec moi chez Snipcard puis Duda, une des meilleures embauches que j'ai jamais faites, un gars de BI, puis de Data Analysis, vraiment une machine. Puis on a instrumenté un petit peu mieux l'analytique si SaaSpasse. Je m'explique, on a demandé accès, puis on s'est connecté au LinkedIn API. on s'est connecté au Meta API on a fait une espèce de routine d'export aussi pour la data qui vit sur Spotify for Podcasts on s'est connecté à YouTube Studio MailChimp MailChimp on le fait à Muten aussi je pense puis finalement à Google Analytics on est allé chercher une couple de sources de data intéressantes puis importantes pour nous et nos partners puis on a tout plugé ça puis quand je dis on c'est Marc je veux être clair... On a plégué ça dans Looker, qui était l'ancien Data Studio, je pense. Ça nous donne une meilleure visibilité sur un paquet de trucs. On a creusé, on a sélectionné une couple de chiffres qui faisaient du sens et que je trouvais juste intéressant à partager. J'y vais avec ça. Pour les premiers épisodes de SaaSpasse, on était roughly en bas de 200 écoles. C'est normal, ça commence, etc. Ça, c'est dans les premières semaines. Mettons, fast forward à aujourd'hui, on a fait x6. Nos tops sont au-dessus de 1200 à peu près. Ce que je voudrais dire par rapport au listen, c'est qu'il y a plein de monde qui me le demande tout le temps. Il y a même des gens qui viennent sur le pod. Le pod sort, est publié. Ça crée un certain effet dans leur réseau ou whatever. Ils ont des DM, des demandes de connexion, des courriels. Il y a des invités du pod qui viennent et me disent Yo François j'ai eu plus d'interactions que j'aurais pensé. Il a dû avoir un gros reach. Ils sont tout le temps un peu surpris. Quand je leur dis, je dis Ah, ben, t'en as eu, mettons, 800 ou 1000. Ça, ça compte, mettons, l'audio pis le vidéo, là. YouTube, Spotify, Apple Podcasts. La leçon ou le constat que je fais, c'est que la qualité versus la quantité, dans le cas de SaaSpasse, qui est triple niche, c'est vraiment, vraiment, vraiment important. C'est cette qualité-là et ce niveau d'engagement de l'audience qui me rassure ou qui me prouve que j'ai Target vraiment un bon market pour le produit et la business qui est SaaSpasse carrément. Je suis très content d'entendre ces feedbacks-là. Vous pouvez continuer de me les donner pour tous les invités qui écoutent. Ça m'aide. Écoute, il y a du monde qui sont passés sur le pod et après ça, ils ont réussi à faire des embauches vraiment plus facilement ou des gens qui ont appliqué carrément chez eux. Il y a eu des connexions pour des partnerships. Il y a eu du monde qui s'est retrouvé des fournisseurs, clients. Pour moi, ça, c'est complètement débile de pouvoir avoir cet effet-là avec des conversations qui sont one. Pas juste one-on-one, mais one-to-many. Ça continue de grow slow and steady. Je ne suis pas rushé parce que c'est déjà une compagnie profitable. SaaSpasse. Ça génère des résultats pour nos partners, je vais dire un peu plus tard. J'ai l'impression que j'ai la bonne audience. Il faut juste que je continue bien la servir et la grossir tranquillement. C'est un peu là que j'en suis. Côté reach, ça, c'est, mettons, les impressions un petit peu à travers tous nos canaux, que ce soit social, infolettre, quoi qu'on a d'autre. Le média, l'audio, le vidéo, le website. Côté reach, mettons, dans les premières semaines de SaaSpasse, il y a 18 mois, on était en dessous de 2000 impressions. Après, j'utilise l'impression parce que c'est la meilleure métrique pour tout rassembler un peu ces canaux-là que j'ai mentionnés. Mais aujourd'hui, on est au-dessus de 13 000 par semaine. Encore une fois, c'est un fois six là-dessus. Il y a une belle croissance. Je suis vraiment, vraiment fier. Dans les derniers 28 jours, il y a 4000 personnes qui ont stream à peu près 622 heures de SaaSpasse. On peut presque dire qu'à chaque minute de chaque jour, il y a au moins une personne qui est en train d'écouter du SaaSpasse. Ça sonnait vraiment funky. Je voulais le partager. Je finis avec mes métriques, puis après ça, je rentre dans du plus tactique et ensuite philosophique. Parce que j'ai produit certains graphiques avec l'excellente fonction Insert Chart dans Google Sheet pour tous mes BI out there. J'ai sorti... Dans le fond, on s'est plugé, comme je disais, sur le LinkedIn API. C'est vraiment cool parce que tu peux extraire un paquet d'infos à propos des gens qui follow une page, donc notre page dans ce cas-ci. Et puis, j'ai sorti les professions du monde qui follow. On est rendu à genre... presque 2500 followers, ça devient un peu plus significatif que quand on l'avait fait à 1000, mettons. Fait que j'ai sorti les professions, les types de rôles, si c'est du monde plus founder ou employé, les pays, les régions au Québec, la taille des compagnies, les top pages. Fait que je passe ça en mitraille parce que moi, je geek out là-dessus, Joe a geek out là-dessus, pis je pense qu'il y a du monde qui s'en va juste intéresser de façon générale. OK. Professions. Fait que quel type de discipline ou de département est-ce que les gens qui suivent, SaaSpasse ? participent à ou font partie de. Le plus gros, c'est vente et biz dev. Bon, granted, biz dev, c'est comme business development, c'est comme un peu large comme catégorie. Fait que it is what it is. Mais on est à 26% vente et biz dev. Marketing et communication, on est à 12,2%. Dev et R&D, fait que tout ce qui est plus ingénieur, technique, programmeur, etc., programmation, 23,6%. Ensuite, on bouge à produits et opérations. Ça, on est à 13 Finance, comptabilité, admin, 6,8 Customer success, experience, support, 6,8 aussi. Design, 3,9 Puis après ça, il y a un paquet d'autres professions, mais que j'ai juste jumelé dans autres pour les besoins de ce pod. Si on a le temps et que je feel fancy on essaiera de faire un peu de motion par-dessus tout ce que je suis en train de dire pour pouvoir popper les... Les graphes avec un beau branding, SaaSpasse. Sinon, je vais juste mettre des belles images dans les show notes. C'est ça pour les professions. C'est vraiment les deux plus grosses, c'est dev, R&D, après ça, vente bis dev, après ça, marketing, puis comms. C'est intéressant, puis il y a quand même un bon chunk de produits. Là, on bouge à type de rôle. Je l'ai bucketé comme suit. Le premier fondateur et ou actionnaire qui nous suivent, son état de 10,4 Évidemment, de par la nature juste mathématique de construire une compagnie, tu as moins de fondateurs que d'employés, right ? C'est sûr que ça va être une plus petite portion que le reste, mais c'est quand même intéressant de voir le chiffre. All right, founders actionnaires ont à 10,4 La suite C et les VP, donc les plus execs, si vous voulez, 7,6 Ensuite, mettons qu'on descend dans le niveau hiérarchique, puis même si le trois-quarts d'entre vous dit que vous êtes flat, souvent on a un organigramme. Ensuite, on descend, puis managers et directeurs, 19,1 À date, on a fait 10 plus 7, 17 plus 19, 20, 30... Faut pas faire de mathématiques live. Mais bon, 30% qui sont pas des artisans, qui sont pas nécessairement des contributeurs individuels qui vont crafter pis shipper quelque chose concrètement. Ça veut pas dire qu'ils ont aucune valeur, c'est juste pour donner le contraste. Là, après, on rentre vraiment dans les employés seniors. On est à 34,8%. employés juniors, 26,7 Fait qu'on s'entend, on est dans... Il y a plus... Stagiaires, c'est 1,4 fait qu'il y a plus que 50 du monde qui suivent SaaSpasse qui sont vraiment des employés, des artisans du SaaS, dans les catégories que j'ai mentionnées avant. Fait que c'est assez intéressant. Encore une fois, je vais dropper ça dans les show notes. On le fonde sur les régions au Québec, OK ? Fait que quand j'ai commencé, évidemment qu'il y avait une prédominance de la grande région de Québec, parce que moi, je viens de là. Puis quand tu commences à builder quoi que ce soit, souvent tu commences à aller chercher du feedback puis des clients dans ton réseau immédiat. Fait qu'au début, c'était beaucoup la grande région de Québec et un peu Montréal. Là, il y a eu un flippening il y a eu un renversement à ce niveau-là. Où est-ce qu'aujourd'hui, des followers dans l'audience de SaaSpace, on en a 45,7% qui est dans la grande région de Montréal. Fait que c'est la majorité. Ensuite, la grande région de Québec, 35,8%. Puis ensuite, ça descend dramatiquement. Puis c'est normal avec la taille et le volume, la densité de population dans les différentes régions. Après, c'est Sherbrooke à 3,1. Toronto, 1,6. Trois rivières, 0,9. Puis, by the way, Shawnee Gann. Salut, Sam. 0,4. By the way, pour le monde de Sherbrooke, en octobre, on a un event qui s'en vient. Ça va être fin octobre, 24 octobre, je pense. On va annoncer ça éventuellement bientôt-ish. Fait que c'est ça. J'ai le goût de parler de médias, pour continuer, versus du code. Quand je construisais puis je commercialisais Snipcard qui était un SaaS, ce que je faisais, c'est vraiment produire du code, puis ensuite pousser du code via le cloud dans différentes géographies, différents marchés, right ? Fait que tu crées puis tu pushes des pixels, puis des zéros, puis des un du code, right ? C'est quand même pas si coûteux que ça à faire, surtout quand tu as des skills de production, mettons, techniques. Évidemment que si tu n'as pas ces skills-là, où tu dois en faire plus, tu tombes dans les salaires de programmeur, etc. Puis c'est comme, ça peut être dispendieux. Mais la commercialisation, non, pas la commercialisation, la distribution de ces choses-là via le cloud, etc., c'est rarement très coûteux. Un scale de fou, quand tu as un succès de fou, évidemment que ton infra, ça va te coûter des bidoux. De façon générale, c'est facile à distribuer comme produit, mettons. Aujourd'hui, c'est moins ça que je fais, right ? Ce que je fais, c'est du média avec SaaSpasse. Donc, pense à du contenu écrit, du contenu en images, en vidéos, en audio, right ? Ce média-là, il y a beaucoup de similarités avec le code dans la mesure où... C'est relativement peu coûteux à produire, surtout quand on fait sur Internet, via Internet. Évidemment que si tu fais une prod de télé avec un crew de tournage, etc., puis des décors, ça gonfle. Mais là, on ne parle pas de ça, right ? On parle d'une Internet Meta Business. Fait qu'il y a ce low cost-là qui est présent dans le média qui m'intéresse, parce que ça peut faire que tu as des bonnes marges. Puis ensuite, la distribution de ce média-là, Un petit peu la même chose, honnêtement, qu'avec du code. C'est-à-dire que tu pushes ça sur des engins comme les médias sociaux, des plateformes de streaming comme YouTube, comme Spotify. Cette action-là de distribuer ton produit médiatique ne coûte pas nécessairement cher. Ça ne veut pas dire que c'est facile, ça veut juste dire que ça ne coûte pas nécessairement cher. Par contre, au niveau du média, Tu crées une espèce de, j'ai l'impression, tu crées une espèce de bite qui doit être nourrie, right ? Régulièrement. C'est-à-dire que c'est une habitude que tu vas développer, puis même une relation que tu vas développer avec ton audience, que ce soit un magazine ou un pod ou une newsletter, whatever. Why is it que tu as une fréquence ? Puis les gens ont une attente par rapport à du nouveau contenu, right ? Ce n'est pas quelque chose que tu peux créer une fois, commercialiser comme il faut une fois, et qu'après ça, ça fait juste continuer de venir. Ça, ça crée un impératif ou une certaine pression sur tes opérations. C'est-à-dire que tu ne peux pas, du jour au lendemain, prendre une pause de six mois. Mettons, moi, je ne peux pas arrêter de podcaster juste parce que ça ne me tente pas pendant un bout. Les partners ne vont pas générer autant de leads. L'audience va arrêter de croire, vous comprenez ? Il y a comme un certain... pression-là. À date, je la gère bien, sûrement parce que j'ai géré quelque chose de similaire quand je faisais le blog avec Snipcard. Mais au niveau du code et du SaaS, ce que je trouve intéressant, c'est que, oui, ça va te prendre un certain temps de construire le produit. Ensuite, tu vas devoir figure out comment le commercialiser. Tu fais-tu inbound un peu plus organique ou tu fais de la vente un peu plus outbound et un peu plus coûteuse. Mais une fois que tu as un bon product market fit, c'est-à-dire qu'il y a une plateforme, une app qui répond bien aux besoins d'un segment de marché, d'une niche, c'est assez... Je ne vais pas dire set and forget parce que ce n'est pas le cas, mais tu n'as pas un impératif de mise à jour et d'investissement qui est nécessairement... autant présent que dans le média. C'est-à-dire que, mettons que j'ai un bon channel d'acquisition qui est de la pub, je fais un ROI qui est positif, je mets un dollar, il me revient un dollar cinquante, whatever. Bien, une fois que ça, c'est c'est-à-dire que le monde rentre, s'inscrive à mon SaaS, met leur carte de crédit, puis paye mensuellement. Oui, il va y avoir des séquences de nurture puis tout ça, puis il va y avoir du onboarding et tout, mais de façon générale, une fois que la personne est in it, puis elle n'a pas churné, tu n'es pas obligé de faire quoi que ce soit d'autre pour que le revenu continue de rentrer, right ? Bon, il y a des, comment dire, des nuances, c'est-à-dire que software as a service, il y a une des implications qui est, on va continuer de t'envoyer du software de moins en moins buggy, avec de plus en plus de fonctionnalités, avec une meilleure expérience as a service sur plusieurs années. Je pense qu'un SaaS qui resterait stallé dans son niveau de... de fonctionnalité, puis sa quantité de bugs pendant des années, bien évidemment qu'il verrait du churn, puis là, ça recréerait cette pression-là à chipper du nouveau code, puis des nouveaux pixels, mais pas autant qu'en média. Fait que c'est cette différence-là que je trouve assez intéressante. J'ai pas encore une conclusion précise par rapport à ça. Ce que je sais, c'est qu'un peut aider l'autre beaucoup. C'est-à-dire qu'avec le média, t'as cette constance-là, cette habitude-là dont je viens de parler. Mais une fois que tu as une audience, parce que souvent le média, c'est ça que ça va te donner, comme asset, c'est que ça crée une audience avec laquelle tu as une relation, puis avec laquelle tu as un lien de confiance établi, distribuer du code là-dedans, mettons que tu as un SaaS que tu peux vendre à cette audience-là ou n'importe quelle autre forme de produit, ça n'a même pas besoin d'être un SaaS, là, ça devient un gros, gros, gros avantage parce que non seulement tu peux faire du cash avec ton média tout court, comme on fait, mettons, avec SaaSpasse, mais... tu peux aussi faire du cash avec un upsell ou un autre produit que tu vends à cette audience-là, cette communauté-là. Fait que, tu sais, je trouve ça vraiment intéressant de réfléchir aux deux modèles dans ma tête et de voir où c'est qu'on s'en va nous autres avec nos skis. Mais je voulais juste lancer ça de moi-même pour que le monde puisse y réfléchir. Évidemment qu'au niveau de SaaSpasse, on a quelque chose qui est un petit peu plus produit et un petit peu plus proche du SaaS, c'est notre job board, right ? Oui, on l'a construit en no-code. Oui, ça n'a pas été des investissements de fous pour réussir à get it together et que ça fonctionne bien. Par contre, ça a quand même été quelques investissements. On a pris une sorte de template sur Webflow, mais là, on l'a méga customisé pour que ça fasse avec les champs et l'intégration qu'on a faite dans Airtable. Après ça, il fallait qu'une personne puisse poster un job ou updater des affaires. Ce n'est pas encore parfait, by the way. On a pris une tierce partie parce qu'on ne voulait pas développer ça custom qui s'appelle, je pense, fill out On a plugé ça là-dedans. Il y a eu un certain investissement, un certain patentage. Mais ce que je me rends compte, c'est qu'adopter un produit qui est payant, c'est beaucoup plus dur qu'adopter un podcast qui est gratuit. Ça, c'est no shit, François. Mais en ayant à faire les deux, je me rends compte que c'est beaucoup plus long de réussir, non seulement à bâtir le produit, mais à le commercialiser comme du monde. que de le faire pour le média. Puis en ce moment, c'est le média qui paye nos factures, qui paye les salaires qui se passent dans sa space. Puis c'est le média qui rapporte des bidoux puis tu retournes ton investissement à nos partners. C'est comme tough de prioriser un focus produit via le job board. Surtout que le job board, c'est basically un marketplace. C'est des employés puis des employeurs. Fait qu'il faut que tu trouves une manière de non seulement séduire et attirer ces deux personnes-là, mais s'assurer qu'ils l'utilisent régulièrement. cette chose-là, puis si un des deux côtés n'est pas là, l'autre ne voudra pas venir, etc. Fait que, C'est quand même tough pour moi de prioriser le job board. C'est un petit peu ça que j'essaie de dire. J'ai eu des conversations avec des pros de ça qui ont exit d'un bip, gros job board, whatever. Puis tu sais, quand ils m'expliquaient la quantité de sophistication qui allait dans l'acquisition de trafic, qu'elle soit payante ou organique, pour certains types de rôles, la négociation avec les job posters, les grosses compagnies qui postaient, comment tu faisais travailler les units économiques entre ces choses-là, j'étais comme... Il y a manière que ce soit un job temps plein, mettons. Un gros job board. En ce moment, le job board de SaaSpasse, je le vois un petit peu comme un asset accessible et utile à la communauté. Tu es un employé en SaaS, il y en a des SaaS qui vont poster leurs trucs. C'est gratuit en ce moment. Ça ne coûte rien. Tu remplis le fill-out une couple de fois, tu as ton job offer. Je trouve que nos job offers, on les a fait quand même clean. Ça stand out un peu des autres job boards. borings. Fait que tu peux l'utiliser, ça te coûte pas grand-chose, pis c'est déjà une audience niche, un trafic niche qui va sur ce genre de job board-là, un trafic qui est plus qualifié, mettons. Autant du côté employeur qu'employé. Fait que ça, c'est cool, je suis content qu'on l'aille fait. Je trouve que c'est un super beau aussi avantage pour nos employeurs certifiés comme Coveo, parce qu'on a du trafic qui se rend là pis qui consomme le contenu qu'il y a là. Fait que nous, on peut donner un peu plus de proéminence ou de promotion aux employeurs certifiés pour... Juste donner plus de real estate et qu'il y ait plus de clics sur leurs trucs. C'est juste legit. Ils supportent financièrement, SaaSpasse et tout. Je suis content de ce qu'on a fait. Je ne suis pas satisfait, mettons, d'où ça en est. Ça va être la job un peu, à Joe, moi et tout le monde autour qui veulent m'aider. Si vous avez des idées aussi, vous pouvez nous en bouncer de voir si on essaie de prioriser ça et comment. Parce que dans ma tête, évidemment que je suis inspiré par toutes les OK Remote ou... Nomad Jobs, genre, comment ça s'appelle ? Laravel Devs, il y en a à pu finir, des Christy Cool Job Board qui run sur pilote automatique, que c'est genre 400$ du job posting, pis que tout ce que t'as à faire, c'est maintenir un peu la plateforme, être sûr qu'il n'y a pas trop de bugs, répondre aux questions de customer service, pis c'est genre un super beau produit, Moneymaker, qui peut changer la donne, tu sais, mettons. Évidemment que j'ai cette inspiration-là, ces aspirations-là. Après ça, ça va être de prendre des décisions stratégiques par rapport à la priorisation. OK, on va switcher sur quelque chose d'un petit peu plus personnel. Pour ce bout un peu plus personnel-là, je me suis dit que j'allais le partager parce que ça allait pouvoir... Parce que certaines personnes pourraient s'identifier avec ça, relate à ça. Juste parce que... J'ai un défaut vers la transparence, puis c'est important pour moi de parler de l'espèce de journey entrepreneurial sur lequel je suis. Fait que, quand j'ai lancé SaaSpasse. quatre à cinq mois après le lancement, je me suis assis avec mon planificateur financier, puis j'ai dit, écoute, man, je veux que tu arrêtes de me dire, mettons, c'est quoi l'âge auquel je vais pouvoir prendre ma retraite sans plus jamais travailler, parce que c'était comme une métrique un peu éducative qu'on utilisait puis qu'on suivait. Puis j'étais comme, ça ne m'intéresse pas nécessairement d'arrêter de travailler, anyway, puis je suis plus intéressé à savoir... Quand est-ce que je vais avoir plus de cash si je ne change pas telle affaire ou si je n'optimise pas telle autre affaire ? J'ai dit, dis-moi plutôt ça. Si je continue de dépenser famille, couple, perso, puis dans mes business à ce rythme-là, puis que je garde un revenu aussi conservateur que ça, c'était les peanuts à l'époque, c'était genre un peu de revenu de consulting que je faisais, puis des petites, comment dites, mensuelles pour SaaSpasse. Si c'est ça, le status quo dépense revenu, Pour combien de temps est-ce que je vais avoir de l'argent ? C'est-à-dire, c'est quoi mon burn rate a fini de burner quand ? Il m'a dit, écoute François c'est pas compliqué, t'en as pour 3 ans, puis après ça t'as plus une scène. Fait que oui, j'ai eu peut-être un petit pincement d'anxiété par rapport à ça. Tu te dis, holy shit, j'avais fait de l'argent avec Snipcard je voudrais pas que tu perdes ça ou whatever. Après ça, je me suis dit, wait, wait, wait a minute. C'est vraiment quelque chose sur lequel tu as du agency et du contrôle comme entrepreneur. Tu peux couper tes dépenses, tu peux augmenter tes revenus. Je suis meilleur pour augmenter des revenus que couper des dépenses, mettons. Mais de façon générale, ça m'a juste motivé à me dire, all right, je veux essayer pour vrai que ça marche, SaaSpasse. Comment je fais pour diminuer ce burn rate-là et repousser ? cette date-là, ces années-là, avant que j'aille, mettons, plus d'argent. Aujourd'hui, j'ai comme le plaisir de dire que je me suis ré-assis avec mon planificateur financier. J'ai dit, all right, dude, avec les partenariats annuels qu'on a closés, avec ce qui s'en vient l'année prochaine, les nouvelles dépenses, celles qu'on a enlevées. Qu'est-ce qui se passe ? On est rendu où avec tout ça ? Puis il m'a dit, écoute, ça leur pousse à peu près à 11 ans, le moment où tu n'auras plus une scène. Puis pour moi, ça a tellement été malade, de voir qu'à peu près un an, si je suis heads down, que je fais quelque chose que j'aime, que je le fais bien, que je le fais tout le temps. puis quelque chose qui a de la valeur pour d'autres personnes, évidemment, je suis capable de jouer sur cette métrique-là. Ça m'a vraiment empowered puis ça m'a fait sentir comme yo, genre, il y a un impact concret aux décisions que tu fais, aux risques que tu prends ou pas. Fait que c'est ça, je suis vraiment content de l'avoir calculé comme ça. J'ai l'impression que ça m'a mis une certaine pression de genre ben, tu sais, il y a une conséquence. Si tu fail puis tu fuck up c'est d'autres... dimensions de ta vie dans lesquelles tu investis ou tu aides du monde ou whatever, qui vont écoper. Puis l'affaire, c'est qu'au final, même si je me plante, ça ne serait pas si pire que ça. Tu comprends ? Parce qu'il y a un fallback pour moi assez clair de devenir, mettons, un des premiers employés ou un late co-founder d'une autre compagnie. Parce que je suis pas mal sûr que le skill set que j'ai développé, le réseau que j'ai développé, pourrait générer des opportunités assez cool, la carrière pour moi. je ne me ramasserais pas dans la rue, right ? Oui, le pire qui peut arriver, c'est que j'ai vraiment fuck up toute la richesse que j'ai accumulée avec la vente de Snipcard. Ça peut arriver, ça. Mais je pense que d'essayer de construire une compagnie et de faire ce que je fais là, c'est worth. Ça vaut ce risque-là. Puis je trouve aussi que c'est un risque qui est beaucoup moindre que celui de certains entrepreneurs que j'interview. ou avec lesquels je parle, que ce soit on-cam ou off-cam, on-mic ou off-mic, peu importe. Puis je pense qu'à travers ces hésitations-là, ces inquiétudes-là que j'ai eues, ça m'a forcé à développer un respect qui était beaucoup plus grand encore pour les entrepreneurs autour de moi, ceux qui prennent des risques, qui en prennent, relativement parlant, beaucoup plus élevés, mettons, que ce que moi je fais. Je trouve ça assez malade d'être capable de... De baigner dans une communauté du genre puis de voir la résultante quand ça fonctionne, mais de respecter aussi quand ça ne fonctionne pas parce que pour vrai, ça ne fonctionne pas tout le temps. Puis une des choses que je me suis rendu compte, c'est que souvent, si ça ne fonctionne pas une fois, si cette espèce de flamme d'entrepreneuriat-là puis de builder-là est là, ça se peut qu'elle ne s'éteigne pas puis qu'elle réalise de la valeur ou de la croissance dans une autre end-ever, dans une autre aventure, un autre business. En fait... Je ne sais pas, c'est mes petits musings personnels par rapport aux finances et au burn rate. Au début, je ne sais pas si vous vous en rappelez, mais il y avait beaucoup de monde qui me donnait des conseils. Ah, François SaaSpasse, ça devrait être un OBNL, vu que c'est un aspect communautaire à ça. Tu pourrais aller chercher un paquet de subventions et du support financier de différents joueurs publics, programmes publics ou même des joueurs privés. Donc... Puis je l'ai considéré. Il y a même des gens qui me disent Ah, tu pourrais aller chercher des subventions pour t'aider et tout. Je l'ai aussi considéré. Mais aujourd'hui, mettons, à 18 mois in, je suis quand même vraiment fucking fier que ce soit moi la gouvernance de SaaSpasse puis que le seul risque que j'ai pris, il soit par rapport à moi-même puis que je n'ai pas de compte à rendre à personne, honnêtement. Puis que ce soit une compagnie indépendante puis privée, SaaSpasse, pour moi, c'est important. Puis je suis fier de ça. Fait que je ne regrette pas le chemin vers lequel je suis allé. Puis je dirais aussi qu'il y a une certaine notion de compte à rendre puis de gouvernance qui peut venir avec des structures comme un OBNL. Je l'ai vu, j'ai été sur le CA d'un OBNL, puis tout ça. Puis ça peut créer une certaine charge. Je ne dis pas de ne pas faire ce modèle-là ou que ce ne sont pas des bons modèles, ou whatever, je n'ai pas d'opinion là-dessus. Je dis juste que ça revient à ce que je dis tout le temps. C'est genre, la connaissance de soi, c'est très clé, mettons, en entrepreneuriat. Puis moi, ma connaissance de moi. est assez bonne. Toutes les fucking thousands que j'ai droppées en thérapie, toutes les blog posts, introspections que j'ai faites, je commence à savoir quel genre de moineau je suis. Je pense que j'ai fait le bon choix de garder ça plus indépendant et 100 privé comme ça. Je suis curieux d'avoir l'opinion du monde là-dessus. D'ailleurs, que ce soit public ou pas public, si vous voulez m'écraser, c'est des choses auxquelles je réfléchis souvent. Une autre chose que j'ai beaucoup aimé dans ces 18 mois-là qui viennent de passer, c'est le fait que j'ai dû ou je me suis frotté à des profils et des personnes complètement différentes de moi. C'est une chose que j'apprécie que SaaSpasse, puis je pense qu'aujourd'hui j'ai la maturité... pour apprécier les différences, pas la discorde, mais vraiment évoluer et converser avec des personnes qui ne voient pas le monde ou la business comme toi du tout. Quand j'étais plus jeune, je n'étais plus dans le culte, mais j'étais plus endoctriné par rapport au bootstrapping, à l'indépendance et à la profitabilité. Tu as tes idoles et tes héros, 37 Signals, que tu lis les livres. C'est juste ça, la meilleure manière de construire des business. puis mes partners, puis mon boss à l'époque, Georges, puis Vince, il y était beaucoup aussi là-dedans. Don't get me wrong, une grosse partie de mon cœur est encore de ce côté-ci. Mais je trouve ça juste fucking le fun de confronter certains de ces principes-là, mais surtout d'un point de vue juste curiosité intellectuelle, d'apprendre sur d'autres manières de financer des compagnies, de croître des compagnies, puis d'opérer des compagnies. J'ai des gens qui viennent sur le podcast, que je m'entends super bien avec eux, mais après leur avoir parlé des fois pendant deux heures, des fois même, je suis comme, je ne sais même pas si je pourrais travailler avec cette personne-là. Parce qu'on a une vision de la culture d'entreprise ou de gagner, ou de la valeur qui est juste complètement différente. Mais la raison pour laquelle je continue de me frotter et de me bumper sur des points de vue et des personnes différentes, c'est que c'est important pour moi que l'écosystème et la communauté soient exposées à différentes manières de construire une compagnie, une culture de compagnie, différentes manières de la financer, de l'opérer, etc. Parce que les profils psychologiques, il y en a une multitude, right ? T'as des gens, leur appétit du risque, leur désir de stabilité, de confort, ça va varier. Leur niveau de tolérance, mettons, à l'adversité, à la complexité, ça va varier. Fait que toute la multiplicité de profils psychologiques qu'il y a dans notre écosystème, faut qu'elle puisse avoir une multiplicité d'endroits où faire carrière, où lancer différentes entreprises. Fait que c'est pour ça que j'aime ça avoir différents types de personnes sur le podcast, même si c'est des fois confrontant pour moi. Une autre leçon que j'ai eue, qui est assez... Une leçon que j'ai eue, c'est des choses qui ont été dites en ligne déjà. C'est des choses dont j'ai parlé dans certains podcasts. Mais la conclusion demeure la même. Commercialiser un SaaS, c'est plus dur que construire un SaaS. Je pense surtout au Québec. Parce qu'au Québec... On a des esprits ingénieurs, des esprits de constructeurs, de builders, assez forts, je trouve. Puis en plus de ça, la tech se démocratise puis devient de plus en plus accessible. Fait que genre, builder du produit numérique, c'est de moins en moins tough. Mais de l'autre côté, que ce soit sur les moteurs de recherche, les médias sociaux, les tournées de podcasts, les inbox du monde, peu importe. où les canaux de distribution pour commercialiser un SaaS deviennent de plus en plus bruyants. Le niveau de compétition et la barrière d'entrée monte là. J'ai l'impression, après avoir parlé avec je ne sais plus combien de founders, que c'est vraiment un challenge qu'on a au Québec. Ce challenge-là est culturel. Peut-être qu'on n'a pas eu assez d'exemples par le passé ou dans notre propre industrie de voir gros, d'exporter ailleurs, d'aller commercialiser dans un autre pays, d'en faire plus. Ou peut-être que c'est plus facile, safe et sécuritaire de commercialiser dans notre coin, dans notre région, dans notre province, avec la proximité culturelle, linguistique, physique, etc. J'en ai parlé souvent. Peut-être que c'est ça, je sais pas, je suis pas genre un fucking pro-sociologue, méta-SaaS, genre don't quote me on this, c'est juste mes ramblings pis mes idées pour stimuler des conversations d'autres opinions que les miennes. Mais on est pas super bons là-dedans, dans commercialiser des SaaS. Fait que qu'est-ce que, genre je disais tout le temps, je suis Spectrum, Snipcard. Tu ne peux pas te plaindre si tu n'as pas de solution ou idée de solution. Au lieu de me plaindre là-dessus, ce que je vais dire, c'est que je veux que SaaSpasse, je joue un rôle là-dedans. Je veux que SaaSpasse, aide des fondateurs et des employés à mieux comprendre certaines bases ou certaines théories de comment tu commercialises via du marketing, via de la vente, via les deux, de quel genre d'outils, de cadriciels, de frameworks. Tu peux te servir dans ta compagnie pour faire ça. Quel genre de profil de compétence en embauche tu as besoin pour faire ça ? Si on veut avoir des wins, si on veut scaler nos SaaS comme ils se doivent de scaler, c'est du code, right ? Ça n'a pas besoin d'être limité géographiquement par un marché quelconque. Il faut qu'on commercialise mieux puis qu'on go to market mieux. C'est pour ça que mes conversations avec... Avec les gars de Vasco, Alex Boucher est venu sur le pod, puis j'ai parlé avec Guillaume, le co-founder aussi, récemment à Montréal. Il y a quelque chose là, dans le revenue ups, dans le revenue architecture, dans traquer comme il faut ce qui se passe dans tes dollars puis ton expérience client à travers le marketing, les ventes, le customer success. Où est-ce que cet argent-là tombe en des cracks ? Où est-ce que ces clients-là tombent en des cracks ? Comment tu fais pour traquer ces choses-là comme il faut et optimiser ton modèle de commercialisation, ton go-to-market, de façon plus holistique ? Je pense qu'il y a quelque chose là. Je vais essayer d'en faire plus à ce niveau-là. Je vais essayer d'en parler plus dans le podcast aussi. Peut-être même qu'on va faire des events par rapport à ça ou des workshops. Je ne sais pas encore. Si vous avez des idées là-dessus, vous pouvez me poker anytime. Je suis super ouvert. J'ai maintenant le goût de parler du retour sur investissement des partners. Je ne vais pas doxer des chiffres méga privés ou whatever. Je vais juste vous dire ce qui suit. Léviat Légal qui est un cabinet d'avocats spécialisé en tech et en startups, qui sont malades. Allez tous les voir, honnêtement, sasface.com. C'est pas pour rien qu'ils sont partenaires avec moi. Je les ai vêtés, j'ai interviewé de leurs clients, j'ai interviewé eux autres. Moi, je suis client de la majorité d'entre eux. Ils sont fucking sick, ces différentes équipes-là. Fait que t'as l'Eviat légal, les avocats pour SaaS. T'as le chiffre, une firme, comptable, finance, fiscalité pour SaaS. Bien, pas juste pour SaaS, mais entre autres. Puis t'as Baseline qui accompagne les SaaS avec des projets d'intelligence artificielle ou juste de la R&D et tout. Fait qu'à date, tout le monde là-dedans, sur leur investissement du partenariat annuel, sont soit dans le vert, ROI positif, ou il y en a un qui est break-even, right ? Fait que kiff, kiff. Ça, pour moi, c'est genre une fierté commerciale et non juste comme de mission et de marketing et de whatever. C'est une fierté commerciale d'avoir réussi à créer un produit, un contenu, une audience qui peut générer une valeur d'affaires supérieure à des partenaires qui ont dépensé, mettons, dans un package. SaaSpasse. Fait que je vais continuer d'en vendre de ces packages-là. J'ai une confiance là-dedans. Puis ce qui est cool aussi, c'est que j'ai jamais l'impression de travailler pour des partners ou d'être obligé de parler de telle affaire puis que ça me gosse. Je les choisis, mes partners. Chaque fois que je parle avec ce monde-là, que ce soit offline ou pour une capsule qu'on met sur les médias sociaux ou pour un pod qu'on a fait avec eux, j'apprends de quoi, ça m'intéresse. Puis si moi, je suis dans ce mindset-là, SaaSpasse, c'est assez de dog food pour que je fasse le bête que la majorité du monde qui écoute va être dans ce mindset-là aussi puis que ça ne firlera pas comme la fucking pub ou pub native trop torquée ou je ne sais pas quoi. Je suis vraiment stoked de ça. Pour ce qui est de l'employeur certifié, on a eu un meeting avec Coveo à Montréal, genre hier, je pense. En tout cas, hier, ce ne sera pas la date où ça sort. Ça a bien été. C'est sûr que c'est un peu plus difficile à mesurer le... Pardon. C'est un peu plus difficile à mesurer le tracking d'applications et ensuite d'embauches. C'est des phonoses, puis les pros RH qui écoutent pourront vous le dire. Un funnel d'embauche, des fois, c'est multi-canal, c'est multi-touchpoint. La personne entend parler de toi à telle place, elle voit une pub à telle autre place, puis elle l'applique direct sur le site ou à Google. L'attribution est challengeante. Par contre, on a quand même quelques mécanismes en place de tracking, autant de notre bord que du bord de Coveo, qui nous permettent de dire qu'il y a eu une couple d'applications, quelques applications directement à des post-Coveo qui viennent de SaaSpasse. Ça, pour moi, c'est un super beau signal, c'est positif. Sinon... Juste dans la production de contenu de qualité côté marque employeur et RH, on a fait de quoi de solide. Ils sont satisfaits de ça. Au niveau de l'exposure, les impressions, les eyeballs et les oreilles, on est dans des dizaines de milliers d'impressions. Je suis plus que ça. Je suis assez content. Il va y avoir de la place pour probablement un ou deux autres employeurs certifiés, mais définitivement pas plus l'année prochaine. Je suis assez stoked de ce truc-là. OK, côté RH maintenant. Qu'est-ce qui se passe avec l'équipe de SaaSpasse ? Il y avait Alex, un de mes meilleurs potes du secondaire qu'on est encore proche, qui aidait beaucoup avec SaaSpasse. Il était même pratiquement en plein pendant une bonne couple de mois. Alex, il y a eu une offre d'emploi fucking sick qui venait plus de son milieu BTC et Contexte et crypto et whatever. C'était une offre trop difficile à refuser. Alex est en transition out de la compagnie. Il va rester un aviseur et un ami, évidemment. Mais ça a été un peu le coup de pied dans le cul que ça m'a pris pour dire, Check, tu en fais du revenu, tu l'as le budget. Embauche une personne en bonne et due forme. puis genre crée-les ton payroll, puis genre fais-les ton offre d'emploi, puis comme c'est ça que tu as besoin, d'avoir une autre personne à qui tu peux déléguer, à qui tu peux bonder, à qui tu peux partager des idées, full-time, bien let's go. Fait que je suis vraiment thankful d'avoir fait ça. J'étais stressé quand même de faire le genre d'offre d'emploi, de hey, salut, c'est moi, tout SaaSpasse, puis comme ça fait un an et demi, puis c'est cool, ça marche bien, on peut embaucher, j'ai été méga transparent aussi dans le salaire, puis tout, puis tout. J'étais comme Fuck man, ça se pourrait qu'il n'y ait personne qui applique là. Je me disais Je ne sais pas si moi j'aurais appliqué quand j'étais un peu plus jeune ou même en ce moment. C'était quand même stressant pour moi. Je pense que c'était mon égo qui avait peur d'avoir zéro application et de faire comme Bon, ça suck ce que tu fais, personne ne veut travailler avec toi. Ça, c'est la petite voix négative de merde. On l'enlève et on se dit Même s'il y avait eu zéro application, parfait. C'est juste une opportunité pour figure out une manière de trouver du monde qui marche mieux et créer une œuvre d'emploi qui est plus intéressante. différentes personnes. OK. Finalement, il y a eu, en toute transparence, cinq ou six, je ne me rappelle jamais, cinq ou six applications. Fait que j'étais heureusement surpris. Puis j'ai été chanceux parce que la première application, c'est Joël, Joël Arsenault. Elle, elle a... J'avais mis une couple de Easter eggs puis d'affaires à checker dans les détails de ma job offer. Je demandais de me raconter une histoire quand même bien écrite, punchée dans l'email d'intro. Elle a nail tout ça. On a fait une ou deux entrevues, genre vidéo, j'ai appelé toutes les références, test technique, nailer le test technique, etc. Fait que j'étais comme, bon, je ne peux pas engager juste la première personne. Faut que là, on fait une couple d'autres entrevues. C'était moins des filtres, il y avait plein de monde super intéressant. Puis finalement, je me suis dit, écoute, regarde, il y a toujours un certain niveau de risque dans une embauche. C'est-à-dire que tu ne peux pas à 100% avec ces 4-5 points de contact-là, même s'il y a des tests, même s'il y a des références, tu ne peux pas à 100% dire, bon, oui, ça va être un feed culturel, oui, vous allez travailler ensemble pendant des années. Fait que faut que tu mettes tes culottes, puis que tu prennes un peu un risque, puis que tu fasses l'embauche pour de vrai. Fait que c'est ça que j'ai fait. Joël est un peu surqualifié, disons, pour le rôle que j'avais affiché à la base, mais je pense que ça y tentait de vraiment bonder avec quelqu'un qui avait de l'expérience en marketing, quelqu'un qui peut l'attirer par le haut, puis de découvrir, mettons, une nouvelle industrie. Fait que j'ai comme été chanceux que... C'est con, mais elle avait écouté le pod aussi pendant une couple de mois. Ça a aidé à la conversion d'embauche. J'ai été chanceux qu'une personne sur quel pied tripe assez sur l'industrie et me connaisse parasocialement via le podcast et décide de prendre une chance, mettons, à être early employee d'une early company. Je suis vraiment reconnaissant. Je ne dis pas juste ça parce qu'elle n'est pas trop loin dans la pièce. Je dis ça parce que je le pense. À date, les interactions qu'on a eues, c'était fucking le fun. Puis je... j'ai bien confiance que ça va continuer de même juste aussi la vibe la vibe sur Slack ou dans les weekly pis tout ça t'as l'impression d'être là avec quelqu'un pis qu'il y a quelqu'un qui t'investit dans la compagnie pis dans le projet avec toi pis ça m'a juste rappelé à quel point j'étais pas un genre de solo founder ou... j'suis un gars quand même d'équipe, j'ai besoin de communiquer j'ai besoin de me faire challenger, j'ai besoin de me faire rassurer des fois aussi Puis de partager les lols, puis les wins, puis les memes, puis tout ça, c'est... Tout ça, c'est genre au cœur de ce qui me faisait triper en malade chez Snipcard quand j'ai commencé. Puis si je pourrais avoir ma propre compagnie ou faire d'autres compagnies, je veux que ce cœur-là de fun puis d'interaction sociale reste. Fait que c'est ça. Bien stoked de cette embauche-là. Sinon, au niveau de Grip, qui est une petite agence de SEO slash marketing pour... Ça, ça va bien. On a quelques clients qui sont, de ce que j'entends, satisfaits. La vérité, ça fait que Ludo, il run ça de son côté. La vérité, c'est que SaaSpasse, ça bouge beaucoup. Puis j'aime beaucoup ça. Ça fait que je n'ai pas beaucoup de bandes passantes et de temps à dédier à la boîte de service. Puis tu sais, la boîte de service va bien, c'est profitable. On s'entend, tu vends des heures, tu n'as basically pas de dépenses. Ça génère un revenu. intéressant même si c'est early. Puis, c'est des clients tout intéressants, etc. C'est juste, humainement, il faut que tu priorises. Puis, monter une deuxième compagnie comme ça en même temps, je pense que je suis trop un gars single track, mettons. Je ne suis pas assez multi-track pour réussir à faire ça. À date, ça va bien. Ludo s'occupe de ses clients-là, etc. Puis, en plus, on n'en parle même plus de grip. Il y a des clients qui rentrent inbound. Fait que ça, pour faire écho à ce que je disais un peu plus tôt dans le pod, genre, les besoins en croissance, les besoins d'accompagnement maintenant en croissance pour les SaaS qui veulent commercialiser, pas juste croire, excusez, qui veulent vendre, qui veulent marketer, sont là, right ? On a fait de Grip, on en a parlé un peu, puis il y a du monde qui continue soit de nous référer du monde ou de nous écrire, hey, avez-vous de la place pour un client, puis tout. Fait qu'il y a quelque chose là. Où est-ce que ça va s'en aller exactement ? En ce moment, je n'ai pas la réponse. On laisse les mois passer. Le dopamine est en super bon terme. Puis, on check ça aller. Pour l'instant, c'est stable et sain, mettons. Avec tout ce que je viens de vous dire, les métriques, mes learnings, mes musings, puis... Le bonheur, c'est un mot fort, mais mettons le fun que j'ai, puis la quantité d'apprentissage que je fais, puis de nouvelles relations que je développe, j'ai la confiance de vous dire que, mettons, pour le futur proche et hopefully lointain, je suis all in dans SaaSpasse. All right, folks, break de 30 secondes pour vous parler de notre partenaire certifié Léviat Légal, un cabinet d'avocats boutique en technologie et capital de risque. Léviat Légal, c'est des programmeurs en cravate. Ils ont carrément développé du software à l'interne. pour automatiser les tâches répétitives puis passer l'économie aux clients. Donc, bye-bye facture exorbitante puis documents à papier infini. Leur philosophie, leur process est designé pour fiter avec la réalité des SaaS. Ils sont là pour des besoins transactionnels, genre financement en stock options, ou plus ponctuels, comme de l'accompagnement légal à temps partiel. Un paquet d'entrepreneurs qui sont venus sur le pod font affaire avec eux puis me les ont recommandés. Check out leur entrevue sur SaaSpasse.com slash partenaire avec un S slash Léviat-Légal ou sur notre YouTube. Ah, puis le... Le pod avec Guillaume, le fondateur, est bourré de knowledge. Épisode 73, check it out. Sinon, direct à la source, leviatlegal.com. OK, de retour au pod. All right, on a fait le récapitulatif, le passé. Je veux me tourner vers le futur, partager une couple d'idées et de projets avec vous. La première question que je me suis posée avant de faire ce centième épisode-là, c'est... C'est quoi mes motivations, mettons ? OK, c'est cool, tu dis que t'as du fun, ça rencontre du monde nice, whatever. Mais qu'est-ce qui te motive ? à continuer de construire SaaSpasse puis d'investir là-dedans. J'ai noté trois points. Point numéro un, c'est les histoires. C'est le fun, mais c'est fucké, mais genre, je me suis fait inviter sur un autre podcast, Keb, puis le host me disait, c'est quoi ta passion, mettons, numéro un. Puis j'étais là, hey man, mind fuck, t'as pas vu, j'en ai combien de passions, t'sais, y'en a-tu vraiment une qui est numéro un ? Au début, j'avais comme un brouillon de réponses qui était... Ah, c'est le langage, mettons. Puis là, j'étais Non, mon cours de linguistique à l'Uni, j'haïssais ça. Fait que c'est pas vraiment le langage lui-même. C'est à quoi ça sert, le langage ? Ça sert à conter des histoires. Fait que ce soit des livres, des pods, que ce soit des blagues de l'humour, que ce soit de la vente, du marketing, de l'embauche, tout ça, ça passe par des histoires, par conter des bonnes histoires. Puis j'ai l'impression qu'autant dedans, SaaSpasse que... Dans le contenu que SaaSpasse, produit, ça déborde d'histoires. Il y en a partout, right ? Fait que de les comprendre, de les approprier, d'essayer de les recompter des fois dans mes mots, je trouve ça malade dans la tête. Puis ce qui est cool, c'est aussi que c'est pas juste mon histoire. Comme là, on est dans le centième épisode, il y a beaucoup, c'est très meta ou genre perso, whatever, il y a beaucoup que c'est mon histoire, mais si tu check tous les autres épisodes, il y en a où je vais injecter des anecdotes perso ou de snip ou peu importe pour... enrichir la conversation. Il y en a plein qui sont genre, j'ai pas un mot à dire sur moi. Puis les histoires que je raconte ou que j'aide à raconter, c'est pas les miennes. Puis ça, c'est un truc, c'est vraiment un good feeling. Vraiment, vraiment un good feeling parce que ça aide à comme tasser un peu mon égo de la situation, mais à continuer de triper sur le storytelling sans que ce soit tout le temps à propos de moi. Évidemment que je vais continuer de parler de mon histoire, je suis un storyteller, je suis un build in public, transparent. kind of guy, mais le fait d'avoir autant de proximité et de promotion des histoires des autres, je trouve ça quand même fucking nice. Le deuxième point dans mes motivations core à continuer, SaaSpasse, c'est les relations. On est un animal social de chimpanzé évolué, whatever, je trouve que la vie fait du sens quand t'es connecté avec du monde. Je trouve qu'une vie d'ermite, ça peut être si t'es un moine, zen, bouddhiste, whatever, peut-être nice, mais genre moi, perso, Je trouve que ma vie fait du sens quand je suis connecté avec du monde que j'aime, que j'apprécie, que je respecte ou qui m'inspire. Puis, dans SaaSpasse, ça commence à l'intérieur. On a une contractante qui rentre dans cette catégorie-là. Joe, premier employé, à date, ça coche ces cases-là. Mais surtout, à l'extérieur. Les founders qui viennent sur le pod, les employés qui viennent sur le pod, les partners que je pogne, les gens que je rencontre physiquement dans les events. C'est rare que je strike une conversation dans un event live, SaaSpasse, pis que je suis comme brrrr roule des yeux, boring as fuck. Non, j'ai souvent soit de quoi apprendre, soit, moi, quelque chose à apprendre à quelqu'un d'autre, pis ça, d'être entouré d'autant de personnes intéressantes. C'est un méga plus. Donc, motivation core. Le troisième point, c'est l'apprentissage. Je dis souvent que je me perçois un peu comme un éternel étudiant, puis je le pense. Je pense que c'est genre un privilège d'avoir des gens talentueux qui peuvent, de par soi, leurs histoires, leurs trucs et astuces, peu importe. t'apprendre des trucs, soit sur l'entrepreneuriat en général, la tech en général, puis ensuite tout ce qui est plus niché puis divisé dans des départs, que ce soit du marketing, de la vente, que ce soit du produit, des RH, de la finance, de la compta, même le légal, genre la négo, la fiscalité. J'apprends des trucs, puis ça m'intéresse. Ça fait que ça, c'est les trois, histoire, relation, puis apprentissage, c'est pour ça que je continue de faire ça, SaaSpasse. OK. Vision court terme maintenant. Qu'est-ce qu'on va faire dans les mois qui suivent, mais surtout dans l'année prochaine ? Bon, pour l'année prochaine, l'objectif de revenus est de doubler les revenus carrément. Right ? Fait que là, on a fait assez de cash pour payer les sous-contractants, pour payer un salaire full-time, pour payer toutes les dépenses de production audio-vidéo qu'on fait quand on fait des events, quand on fait des entrevues avec des partners, pour payer les logiciels qu'on utilise. Le nouveau MacBook à Joël. Puis, je ne sais plus trop c'est quoi d'autre que je paye, mais bon, les dépenses de SaasPassent, sont couvertes. Puis, il y a un petit lousse que ça va être genre d'épinote pour mon salaire de 2024. Cool. Si on double ça, ce que je pense qu'il est réaliste de faire, puis je vais expliquer comment je vais le faire. Si on double ça, non seulement il va pouvoir avoir des augmentations pour les gens avec qui je travaille, que ce soit les contractants ou employés. Moi, je vais pouvoir avoir un salaire relativement décent. Pas assez encore pour couvrir toutes les catégories de dépenses, famille, couple, perso, que j'ai besoin de couvrir. Mais c'est un gros step vers ça, mettons. C'est fucking motivant. Fait que c'est ça. On veut doubler le revenu. C'est aussi simple que ça. Je vais dire tout de suite, dans le fond, je pense, comment on va faire ça. Un, more of the same. d'autres partenaires certifiés annuels. À date, on s'enligne pour renouveler tous les fournisseurs certifiés, le Schiff, Léviat, Baseline. À voir si ça renouvelle ou pas. Les gars m'ont pas fait une promesse, puis je suis pas en train de les squeezer sur un pod. Mais les signaux à date, les discussions qu'on a eues à date, ça semble être un renouvellement. Coveo, encore un peu trop early pour voir. Mais les choses certaines, c'est qu'à part les renouvellements, on va aller chercher de nouveaux partenaires. On a assez de place. dans notre bande passante, genre médiatique, contenu, pour intégrer du contenu de trois autres partenaires. Quatre, si on stretch, mais trois au moins. Je suis en discussion actuellement, je ne sais pas si ça va être closé par le temps, que ça sort avec différents partenaires potentiels. Un que ce serait employé et ou produit potentiel. Un que ce serait produit certifié potentiel. Un que ce serait fournisseur certifié potentiel. C'est des trucs cools. C'est des trucs qui m'intéressent. J'ai le goût de travailler avec ce monde-là. À voir si ça close ou pas. Fait que bon, la shameless plug ici, je vais la faire tout de suite. Mais si vous êtes genre un potentiel partenaire certifié de SaaSpasse et que ça vous intéresse d'en savoir plus, vous pouvez m'écrire francois.SaaSpasse.com Mais grosso modo, plus de partenariat annuel certifié. Juste avec ça, en théorie, on pourrait peut-être pas doubler, mais on devrait être proche de notre goal en tout cas. Les autres manières qu'on va avoir de faire de l'argent, c'est twofold. Communauté, et puis... conférence. La communauté en ligne, ça va se passer. C'est un besoin qui est répété par certaines personnes. Quand je sonde les gens là-dessus, il y a un intérêt marqué. Écoutez, je ne pense pas que ça va être une ligne d'affaires méga payante. La communauté en ligne, mon but, ça ne va pas être de milquer le cash que je fais avec une communauté en ligne. Par contre, ça risque d'être quand même un poste de revenu, mettons, une ligne de revenu. C'est-à-dire que, juste pour le sérieux des participants, Je pense que d'avoir, de committer un certain montant d'argent, qu'il soit mensuel ou annuel, c'est un bon filtre de qualité pour les gens qui veulent participer à cette communauté-là. Il y a ça. Ensuite, au niveau de la communauté, ce que je peux vous dire, c'est que ça s'enligne plus pour être vers les founders pour commencer. J'aimerais ça en faire une pour les marketers, pour les vendeurs, pour les RH, pour les products, pour les devs, pour le monde de finance. La vérité, c'est que je ne pourrais pas faire... une énorme communauté ou 37 petites communautés comme du monde. On n'aura juste pas le temps et les ressources dans SaaSpace. Mon thinking, ça a juste été de dire, c'est qui dans tous les profiles et personas qui écoutent et qui consomment du SaaSpace qui ont le plus à gagner de connecter avec d'autres mondes ? Souvent, c'est les founders. C'est eux qui ont été les plus criants ou explicites par rapport à oui, on aurait ce besoin-là d'une communauté en ligne Eux, ils voient beaucoup de valeur là-dedans. Puis aussi, d'un point de vue un peu macro, les décisions que les founders, les execs prennent, c'est ces décisions-là qui ont le plus d'impact souvent sur les compagnies puis les chances de succès. Fait que si j'aide ces gens-là, bien, en théorie, ça trickle down, puis j'aide l'écosystème. C'est mon genre de rational pour l'instant. Vous pouvez me dire ce que vous en pensez. Fait que communauté, ça risque d'être un poste de revenu. L'autre, j'ai mentionné conférence. L'année prochaine, on fait la première SaaSpasse. Ça va se s'appeler SaaSpasse ?? Je ne sais pas si ça va s'appeler SaaSpasse conf Ça ne sonne pas pire à voir. Ça risque d'être en septembre. Ça risque d'être une journée complète. Écoutez, je ne peux pas révéler trop d'affaires là-dessus encore, entre autres parce que je n'en connais pas beaucoup d'affaires là-dessus encore, mais entre autres parce que j'ai peut-être une activité et une coopération avec quelqu'un d'autre dans un autre univers conférencier qui risque de m'éduquer beaucoup et de m'inspirer beaucoup sur SaaSpasse conf Mais ça, en théorie, pour avoir parlé à différentes personnes, ça peut devenir un poste de revenu vraiment intéressant qui génère une belle marge de profit. Ça risque d'aider à l'atteindre de nos objectifs aussi. Si vous avez des idées, des suggestions pour la conf annuelle, SaaSpasse, n'hésitez pas. OK. Je pense que j'ai fait le tour côté objectif, un petit peu plus revenu. Évidemment, vous aurez noté dans tout ça qu'il n'y a pas une... énorme increase des dépenses qui viennent avec ces nouveaux trucs-là. C'est ça qui est important pour moi. Ça reste de rester profitable. C'est bien important pour moi. OK. J'ai une autre annonce à faire. Fait que j'y vais. Grosso modo, vous l'avez peut-être vu, puis je le mettrai dans les show notes, mais j'ai fait un genre de recherche pendant une fin de semaine, puis j'ai parlé à tout plein de monde, puis j'ai googlé, puis chat, j'y... PTA, par rapport à devenir Limited Partners dans un fonds de capital de risque au Québec, plus spécifiquement. Fait que j'ai comme écrit un peu la conclusion sur un long post LinkedIn, puis je l'ai mis sur Twitter aussi, je pense. Puis il y a plein de monde qui ont plein d'opinions puis qui me disaient plein d'affaires, right ? Ça passait de écoute, un premier fonds, mettons, qui est lancé, ça peut être plus challengeant. ou ce n'est pas tous les fonds qui performent et qui font des retours, ou les choses que tu veux apprendre en te collant à des VC, tu peux les apprendre sans investir comme Limited Partners. Puis après ça, il y a certains downsides à mettre du cash comme Limited Partners LP, dans un fonds VC de capital de risque. Cet argent-là, il est freezé. Tu l'as commis. Oui, tu as des cash calls. Tu le débourses, mettons, à chaque, je ne sais pas, je ne sais même pas exactement comment ça fonctionne. Je pense que tu débourses chaque... quelques trimestres ou chaque année, quand le general manager, le general partner du fonds dit Hey, OK, on va prendre une fraction de l'argent que tu as commis au fond. Puis après ça, une fois qu'il est déployé dans des investissements, dans des startups, tu ne peux rien faire avec ça le temps qu'il se passe de quoi avec la startup puis qu'ensuite le fonds close, si tu veux, puis il retourne ou pas de l'argent à ses investisseurs. C'est très grossier comme explication, mais c'est pas mal dans le même sens. Grosso modo, moi, je n'ai pas une quantité de richesse, mettons, infinie, que je peux me permettre de jeter tout plein d'argent dans des places immobilisées que peut-être je vais avoir un retour ou pas, puis peut-être dans 5-7 ans ou pas, ou même plus. Par contre, j'ai pris la peine de parler comme une fois avec Étienne Mérineau de Télégraph Capital à Québec. On va le mettre dans les show notes. Étienne, il a un sacré beau parcours. Il a fait Hay Day. Il a vendu ça dans la même année que moi, je pense, en 2021, à Hootsuite, un autre gros scale-up canadien. Pour des gros bidous, c'est public, je pense, c'est genre 60 millions. Fait que lui, il a retourné l'argent de ses investisseurs. Lui, il avait levé du cash. Il en a fait lui aussi, lui et ses co-founders. Puis là, son play, c'est d'investir en B2B tech. Fait qu'en B2B SaaS, AI, entre autres. Des compagnies tech qui sont software puis genre le CL first, c'est sûr que moi, ça m'intéresse beaucoup. Des compagnies qui sont pre-seed puis seed, t'as le chaos puis le risk-taking puis le thrill du début. T'as aussi tous ces founders-là qui décident de se le craindre, on l'essaye, mettons. C'est ce côté-là du market auquel il va s'adresser. Je ne vais pas faire un... Je ne suis pas en train de faire le pitch deck à Étienne, right ? Si ça vous intéresse plus, vous pouvez DM Étienne Mérineau sur LinkedIn. Au pire, je mettrai son courriel dans les show notes. Mais de façon générale, je pense que... Je ne sais pas si le fonds va être closé rendu là. Ça s'enligne plus pour l'automne. Si ça vous intéresse d'être limited partner ou de voir un peu ce qui se passe avec Télégraph et Étienne, vous pouvez outreach Étienne. Il vous donnera les détails. Je ne suis pas le porte-parole ou whatever. Ce que je veux moi expliquer, c'est pourquoi j'ai pris cette décision-là. Moi, François Lantier-Nadeau, mettons. Alors que, vous le savez, j'ai un penchant et un instinct plus... pour des compagnies bootstrapped que des compagnies VC funded qui se financent au capital de risque. La raison pour laquelle j'ai décidé de me rapprocher d'un VC, je vais expliquer pourquoi ce VC-là spécifiquement, c'est parce que c'est important pour moi de ne pas critiquer, de ne pas tasser du revers de la main Un paquet de compagnies qui se financent avec du capital de risque juste parce que moi, je ne l'ai pas fait. Certaines personnes que j'admire ne l'ont pas fait. À l'inverse, plus je fais SaaSpasse, plus il y a des personnes que j'admire avec des résultats de fou qu'eux, ils ont passé par cette track-là de se financer via du capital de risque. Ce que je veux, c'est mieux comprendre comment SaaSpasse dans un fonds comme ça. La relation que les founders... vont avoir avec les VC, les General Partners General Partners. Je veux avoir les updates de tout ça. Je veux idéalement pouvoir peut-être jouer même un rôle d'aviseur pour certains founders ou startups avec lesquels ça va être un fit. Fait que je veux être proche de ça pour mieux comprendre ça. Autant les pour que les contre. Si moi, dans le futur, je pourrais faire une forme d'investissement ou d'aide au SaaS plus direct, Je veux comprendre celle-là. Ne serait-ce que pour positionner la mienne aussi. Je suis très transparent par rapport à tout ça. C'est des choses que j'ai dit à Étienne. Par rapport à Étienne, j'ai fait une vérification diligente sur le gars avec des tierces parties très différentes qui se connaissent pas nécessairement. Tout est revenu stellar. C'est un dude qui me semble assez balls to the wall si je peux me refaire l'expression. All in dans cette aventure-là. Il y a d'autres gens que je connais, d'autres compagnies qui croient en lui. Je me suis dit C'est un dude qui me semble assez balls to the wall C'est le genre de dude avec lequel je veux une relation et que je veux encourager. On va-t-il être partners plus tard ? Je ne sais pas, peut-être. Mais c'est un peu ça, mon thinking. Puis ce n'est pas pour faire un retour que je fais ça, c'est pour apprendre et connecter. Fait que c'est ça, c'est ma rational pour ce move-là que j'ai décidé de faire. Je suis bien curieux de savoir ce que vous en pensez, mais it is what it is, c'est committed. Ceci étant dit, j'ai envie de parler de quelque chose d'un peu connexe, qui est la notion d'être... un méta-connecteur. SaaSpasse comme joueur dans l'écosystème de par la nature médiatique et de réseautage un petit peu de la compagnie. Ça lance des tentacules et ça se connecte avec un paquet de parties différentes, des employés, des VC, des founders, des fournisseurs de services, des produits. Ça m'est arrivé de façon naturelle et organique que du monde me demande d'être connecté avec des gens pour les avoir comme clients, pour travailler pour eux autres, pour investir dans eux autres. Ce que je fais, tranquillement, c'est que je fais comme un MVP d'un produit ou service de connexion, justement, pas comment appeler ça, où est-ce que j'écris des courriels vraiment détaillés puis le plus helpful possible pour, par exemple, une fondatrice qui cherche l'investissement pour sa prochaine rente de financement. Puis je lui dis, voici telle personne, voici pourquoi tu devrais lui parler, voici telle autre personne, etc. Voici des ressources dans SaaSpasse que moi, j'ai produit avec la team, puis telle personne... Contre telle histoire sur tel pod ou whatever. On a un événement qui s'en vient là-dessus, peu importe. Puis je bundle, je danse, vraiment danse, un genre de valeur que j'envoie dans un courriel. À date, il y a eu des bonnes réponses à ces choses-là. Puis évidemment que je ne fais pas des intros Cowboy, puis YOLO, puis Willie Neely. C'est vraiment important pour moi de dire ça. Pour le monde qui veut que je fasse des intros, sachez que je fais tout le temps des double opt-in, personnellement, ou presque tout le temps. Ou est-ce que... une partie est intéressée à rencontrer une autre partie, parfait. Ou je pense qu'une partie A devrait rencontrer B, je vais demander à A et B, est-ce que vous avez le temps ? Est-ce que vous avez l'intérêt ? Sinon, c'est pas grave, les gens comprennent ça, puis c'est pas plus grave. Comme ça, tu maximises tes chances que la connexion que tu fais ait de la valeur pour les deux parties, puis que toi, indirectement aussi, tu ailles générer de la valeur pour ces deux personnes-là. C'est un peu de même que je vois les intros. Il y a comme un Rolodex un peu informel qui est en train de se builder à travers mes Apple Notes, mes commentaires dans Messive, les e-mails dans Messive, Notes le project management qu'on fait là-dedans. On va-tu centraliser ça ? On va-tu, genre, concrétiser ça puis vraiment l'utiliser ? Je sais pas. Mais je vois qu'il y a un hint, un début de valeur, qu'il y a quelque chose d'intéressant. Je sais pas si ça va être quelque chose qui va juste être naturel dans sa space puis arriver de temps en temps ou être carrément concrétisé et commercialisé. OK. Les Pokémon. Qu'est-ce que je veux dire par Pokémon ? Joël et moi, la semaine passée, on s'est craqué une petite chasse aux Pokémon. Je m'explique. Tu sais, dans les Pokémon, je ne suis pas tant un gars de Pokémon, mais je pense que Joël a joué. Je pense qu'elle aimait ça quand elle était plus jeune. Elle connaissait un peu plus que moi. Mais grosso modo, les Pokémon, il y en a qui sont vraiment faciles à aller chercher. Avec un ou deux Pokéballs, je ne sais pas trop, je vais me fier dans mon analogie. Puis, il y en a qui sont vraiment de plus en plus rares. pis quand quand ils évoluent ils deviennent plus tough à aller chercher pis à attraper avec tes pokéballs pis whatever ben grosso modo on veut se faire une genre de liste de pokémon un peu pour le podcast c'est à dire que j'aimerais vraiment ça qu'on shoot plus haut pis plus gros tout le temps pas au dépit ou en dépendant, c'est quoi le mot que je cherche ? Pas en tassant des invités qui sont peut-être plus early dans leur journey ou plus underground, mais en allant chercher une diversité d'invités dans tous les sens du terme, diversité. On le voit dans nos métriques, right ? Il y a des gens dans un paquet de professions différentes. dans un paquet de grosseurs de compagnies différentes, dans un paquet d'industries différentes. Fait que genre, dans notre audience, dans le monde qui écoute SaaSpasse, il y a des hints de diversité qu'on peut utiliser pour ramener dans la liste d'invités qu'on veut amener sur le pod. Évidemment que plus les personnes ont des grosses audiences, des histoires avec une grosse ampleur, c'est sûr que c'est bon pour nous, on fait un produit médiatique, on ne se mentira pas que ça augmente le reach, c'est bon pour nous, nos partners, etc. FAC ! On commence à se builder une liste de Pokémon. Ce que je veux dire par rapport à ça, c'est qu'on va essayer. On va en outreach. Puis il y en a que j'ai sur ma liste, ça ne s'appelait pas ma liste de Pokémon avant, mais whatever, que ça fait un an que j'essaie de leur dire de venir sur le podcast. Puis ils disent, soit ils ne répondent pas, puis ils n'ont pas le temps, pas l'intérêt. C'est correct, je respecte ça. Il y en a qui disent non, pas tout de suite. Il y en a qui disent non, j'aime pas ça, parler en public. C'est correct. Il faut que j'en essuie une couple de noms, je pense. C'est juste normal. Si tu n'essaies pas d'aller chercher différentes personnes, tu n'auras jamais des noms. Tu n'auras jamais les oui que tu veux. Tout ça pour dire que s'il y a des rares Pokémon que vous voudriez vraiment que SaaSpasse à trappe, vous pouvez nous envoyer des suggestions. Que vous connaissez ces personnes-là ou pas, ça ne me dérange pas. Je ne suis pas en train de béguer pour des intros. Je vous dis juste... Mettez les rares Pokémon qui pourraient faire des critiques de bonne histoire, inspirés du monde, et qui imposent un peu cette diversité-là dont on parlait, mettez-les sur notre radar. That's it. Que ce soit en DM à Joe, en DM à moi, bonjourhiatsaspace.com, mais on veut up notre game et être un peu plus intentionnel dans les guests qui viennent. C'est quelque chose que j'ai dit l'année passée, et que j'ai fait un peu plus cette année, honnêtement. J'ai eu le nom. beaucoup plus facile. D'ailleurs, je vais faire une parenthèse là-dessus. Il y a des gens qui se pitchent ou qui pitchent quelqu'un d'autre pour venir sur le podcast, SaaSpasse. First of all, je suis flatté. Je trouve ça juste débile d'avoir réussi à construire quelque chose qui a une certaine tribune et une certaine audience qui fait qu'il y a du monde qui va être intéressé de venir partager des trucs sur cette tribune-là. Je suis flatté. Je vous remercie. Je suis reconnaissant. Ceci étant dit... Il y a juste 52 semaines dans l'année, puis on prend deux semaines de pause. Il y a juste 50 slots dans l'année. Il y a des affaires qui se planifient. En plus, il y en a qui se bookent beaucoup à l'avance. Enregistrer un podcast, le préparer, faire la prep avec le guest, enregistrer le pod, l'envoyer en post-prod, le promouvoir. Je l'avais dit dans l'autre recap, c'est genre un total de vingtaine d'heures, si ce n'est pas plus, par podcast. Il y a aussi une quantité limitée de temps que Joe et moi et les contractants peuvent... passer sur un épisode de podcast dans l'année. Fait que si je dis non, on n'a pas le temps, on est déjà booké, c'est ça la raison. Prenez pas ça nécessairement personnel. Puis peut-être que dans un an ou dans deux ans, peut-être que je vais avoir plus de bandes passantes, peut-être que je vais en faire deux par semaine, je sais pas, ou il va y avoir un autre format de contenu, je sais pas. J'apprécie, mais ça se peut que je dise non. Au moins de titre que moi, je me fais dire non, je respecte ça. Par contre, il y a des manières de ne pas faire ça, ça pitchait pour le podcast. Sachez que si on n'a aucun lien, on n'a aucune relation en commun, on ne se connaît pas, on n'a pas travaillé ensemble, vous n'avez pas nécessairement consommé le contenu du podcast, vous ne savez pas je suis qui, vous ne savez pas SaaSpasse c'est quoi, mais vous avez vu un LinkedIn preview passer une fois, le follower count sur, je ne sais pas, LinkedIn, couple de views sur YouTube, vous avez dit, ah fuck it, on essaie d'aller sur ce podcast-là. Man, SaaSpasse, c'est pas genre une plateforme de promotion pis de publicité. SaaSpasse, c'est genre mon baby. C'est des conversations de cœur, de qualité, qu'il faut qu'ils m'intéressent moi pis qu'ils intéressent ma crowd. C'est pas juste une plateforme de promotion. Fait que c'était quand même important de faire un petit disclaimer là-dessus. Pis ça se peut straight up que juste je réponde jamais si j'ai le feeling que c'est un peu ça que vous êtes en train de faire. Pis je dis ça honnêtement en tout respect. Y'a pas de hang ou de whatever. C'est juste it is what it is. C'est important pour moi de le dire. OK. L'année prochaine, on veut aussi améliorer l'utilisation des canaux existants qu'on a, mais dans lesquels on n'injecte pas nécessairement beaucoup de love et d'énergie, par faute juste de ressources et de priorisation. Fait que là, avec Joe qui arrive, avec le budget qui va augmenter aussi l'année prochaine, on va pouvoir mettre un peu plus de love et d'énergie dans certains canaux. Ceux qu'on a identifiés à date, qui font du sens pour nous, pour différentes raisons, c'est YouTube et puis Instagram. LinkedIn... on fait quand même une bonne job, on est bien présent, les impressions et le follower count montent, ça va quand même bien. On veut continuer dans cette voie-là, mais il y a une nature ou un type de contenu qui peut vivre sur YouTube, que ce soit des shorts ou des capsules juste de moi ou de moi et des partners, pardon. Il y a quelque chose qu'on peut mieux nourrir, je pense, ce canal-là. Puis Instagram aussi, juste au niveau des stories, c'est un truc que Joe a commencé à faire rapido. On a tellement de contenu, puis on a des cuts, puis des previews, genre 4-5, je pense, par épisode, qu'on ne prend même pas le temps d'utiliser puis de promouvoir comme il faut. Pour ceux qui m'ont écouté déjà parler de contenu marketing, par le passé, je disais souvent que tu veux au moins 50-50. 50 production de ton contenu, 50 promotion de ton contenu. Dans le cas où SaaSpasse, on a un gros volume de contenu, puis en ce moment, ce n'est pas ça. C'est genre peut-être, je ne sais pas. 70-30, 70 promotion, 70 production, 30% promotion. Puis ça, c'est quelque chose qu'on veut s'améliorer là-dessus. Puis il y a même d'autres podcasts kebs qui font bien moins de contenu que SaaSpasse, ou même des fois du contenu moins cool que SaaSpasse. Sorry ! Mais qui n'aillent la game de promotion genre vraiment mieux. Puis ça, je suis comme C'est quelque chose qu'on veut s'améliorer. Fait que je voulais le lancer là-dedans. C'est vraiment juste une petite taquinerie, les amis. OK. Conférence communauté, on l'a croisée. C'est bon. On est rendu, mesdames et messieurs, au long terme, au très long terme. Puis je vais essayer de faire ça vite parce que ça fait déjà longtemps que je vous parle. OK. La raison pour laquelle je veux construire des compagnies, surtout celle-là en ce moment, c'est parce que ça me permet de jouer... à des Infinite Games, des jeux infinis. Puis là, avant que vous me disiez, ah, Sinon Sinon ou je sais plus qui, moi, c'est pas ce livre-là que j'ai lu, moi, j'ai lu Finite and Infinite Games de Games B. Carr ou Carr Games Carr, en tout cas, on le mettra dans les show notes. Le genre de jeu auquel tu perds juste si t'arrêtes de jouer, qu'il y a pas nécessairement un gagnant, un perdant, des règles fixes, une durée limitée, puis un trophée. Le genre de jeu qu'est-ce... gagner, puis ce que t'en retires, c'est juste de jouer puis de participer. Puis je trouve que construire des compagnies, ça fait bâtir des relations, ça te fait découvrir puis raconter de nouvelles histoires, ça te fait... tu crées des carrières, tu génères de la richesse, de la valeur, tu peux réinvestir ça dans ta communauté, que ce soit, genre, professionnel, comme je sais le faire avec ce qui se passe, ou aussi personnel. Tu peux mieux supporter ton lifestyle, ton confort, mais aussi le lifestyle puis le confort des gens qui t'aiment. J'ai l'impression que dans ce jeu infini-là, d'essayer de construire des compagnies, surtout sur Internet, pour moi, il y a quelque chose de genre, je me sens juste sur mon X là-dessus et je veux essayer de continuer de le faire. Fait que ces jeux infinis-là, c'est un peu là-dedans que je m'enligne. Puis pour faire ça, j'ai certains principes que je me suis notés. C'est des principes qui ne sont pas, comment dire, coulés dans le béton, mais c'est des principes qui sont très importants pour moi. Puis je me suis dit que j'allais juste m'envoyer en barouette un peu, en mitraille, pour que vous ayez une idée de comment je pense au genre de... compagnie pis de choses que je veux construire dans la vie. Les profits, c'est de l'optionalité pis c'est un edge. Je veux prioriser ça. Ça, c'est un des principes. Sinon, j'ai un principe aussi au niveau de la bienveillance, qui est, idéalement, tu veux tirer le monde par en haut. Pour tirer le monde par en haut, des fois, il faut avoir des discussions difficiles, donner des critiques constructives pis tough. Mais ce que tu veux, c'est que les gens croient en même temps que la compagnie croit. Tu ne veux pas extraire de la valeur et discarter des gens. Tu veux qu'il y ait une parallélisation de la croissance de ta compagnie et des carrières dans ta compagnie. Ça, c'est important pour moi. Il y en a un que j'appelle l'excellence à petits pas. C'est con, mais je ne suis pas un gars de méga vitesse, méga intensité, méga compétitivité. Je ne suis pas de même, moi. Puis comme je m'assume là-dedans, puis la beauté de l'entrepreneuriat pour moi, c'est qu'il y a une diversité de manières de construire des compagnies et de la valeur. Puis pour moi... l'excellence à petits pas. Ça embody un peu mon désir de nailer des shit, d'être fucking bon, mais de le faire dans un rythme qui fit avec ma psychologie et qui est plus sain, selon moi. C'est quelque chose que je passe à mes employés, mes teammates aussi. En tout temps, travailler avec des gens qu'on aime, qu'on apprécie et ou qu'on respecte, idéalement, ces trois-là, la vie est trop courte pour travailler avec du monde que tu aimes pas. apprécient pas pis respectent pas selon moi encore une fois c'est important d'avoir du fun pis de se voir dans la vraie vie le plus possible il y a des connexions IRL in real life qui sont beaucoup plus nuancées pis profondes que les connexions virtuelles pis numériques qu'on peut se faire si on a pas de fun il y a quelque chose qui cloche ça c'en est un autre principe que je bonifie de avoir du fun ça veut pas dire qu'on peut pas faire des choses difficiles accomplir des choses difficiles ou qu'on pensait pas nécessairement réussir c'est le fun aussi. OK, puis sinon, j'ai un triple tap que j'appelle des bons défis avec du bon monde dans une bonne industrie. Personnellement, je suis trop émotif pour être le genre de businessman calculateur qui va dire OK, dans le lavage à pression d'automobile, il y a une niche sous-servie dans telle géographie. Si je nail mon PPC là-dessus, je vais être capable de genre avoir une marge de profit de malade. embaucher des locales étudiants et tout ça. Il y a des gens qui vont être passionnés de juste la business, les mécaniques, les dynamiques de business qu'ils vont déployer dans une compagnie. Mettons, moi, c'est pas ça. Le lavage à pression d'automobile, j'en ai absolument rien à chier. Si le sujet et le thème de la compagnie que je lance ne m'intéresse pas, ça ne marchera pas. Je me désintéresse, je me démotive trop facilement. C'est mon côté peut-être émotif ou... Plus, genre, passionnel. Je ne sais pas trop comment en dire. Ça fait, genre... Ça fait comme soap opera érotique. Le mot passionnel, bon, ça commence à être tort. Je dis n'importe quoi. All right. Puis, good people, puis good challenges, c'est juste ça. C'est genre... Encore une fois, la vie est trop courte pour travailler avec du monde qui ne m'intéresse pas. OK. Ça, c'est les principes que je veux roughly suivre pour construire les différentes compagnies. Je pourrais peut-être les mettre en show notes. J'ai un estifié de beau fig jam qui est encore un tantinet trop brouillon pour être publié, mais en tout cas, on verra. Les stratégies pour construire ces différentes compagnies-là, puis je vous expliquerai un peu ce que je veux dire par différentes compagnies. Un, l'essentiel, c'est les synergies. Entre les différents plis que tu déploies, les différentes compagnies que tu construis, il faut qu'il y ait des synergies, des vases communiquants, tu sais, dans ressources ou en embauche ou en finance ou en peu importe. Upsell, cross-sell, appelle ça comme tu veux. Ça, c'est vraiment important pour moi. Ça diminue le risque. Je ne suis pas nécessairement quelqu'un qui est méga tolérant au risque. Idéalement, avoir plus qu'un produit et compagnie pour avoir une diversification qui te permet d'être un peu antifragile par rapport au statut macroéconomique, ce qui se passe dans l'économie, les bad lucks que tu as, les black swans, whatever. Après ça, moi, je veux... Miseux, non seulement sur du logiciel et du numérique, mais aussi sur du IRL, in real life, en présentiel. Je trouve qu'il y a un niveau de connexion et de relation que tu établis avec tes partners, tes clients, ton audience qui est juste méga plus fort. La communauté et l'audience, c'est un mode, c'est une manière de distribuer un canal de distribution d'une qualité exceptionnelle qui est très, très, très dur à copier et à hijacker. Une autre stratégie, Be the only, not the best. Soyez le seul, pas le meilleur. Si tu embraces ce côté-là, c'est que tu n'es juste pas copiable. Il n'y a personne qui peut faire exactement ce que tu fais de la manière que toi, tu le fais. Je ne rentre pas plus là-dedans. J'en ai déjà parlé beaucoup. Je crois beaucoup aussi dans une stratégie qui construit des choses qui sont plus faciles pour toi que la moyenne et qui compétitionne sur ces choses-là. J'ai un exemple. Quand je lançais le pod, on avait un rythme. de publication d'épisodes qui était assez grand. Il y a des gens qui me disaient, je ne sais pas comment tu fais pour avoir autant de conversations, d'en sortir autant, la vélocité de publication. J'étais comme, oui, mais pour moi, mettons. avoir une conversation de qualité avec ce genre d'invité-là, c'est relativement facile. Je ne veux pas dire que c'est facile, mais c'est beaucoup plus facile pour moi que pour la moyenne du monde. Fait que de compétitionner, mettons, sur ce côté-là pour l'audience building puis pour le marketing, ça faisait juste du sens pour François Lantier-Ladeau, mettons. Fait que c'est pas mal le côté, la vision plus long terme. Puis rapidement, je vais vous dire, mettons... le genre de compagnie qui m'intéresserait peut-être de fonder pour le futur. Ce n'est pas une promesse, ce n'est pas un commitment que je fais. C'est juste pour vous donner une idée de où ma tête va quand je me mets dans 5 à 10 ans, mettons. La première idée, c'est une compagnie de production multimédia. Avoir notre propre studio. Avoir aidé peut-être d'autres IP, donc d'autres produits de contenu, ou d'autres produits médiatiques similaires à SaaSpasse, dans différentes niches peut-être. à lancer, à scaler, à monétiser, etc. C'est quelque chose qui m'intéresse aussi. Puis, il y a des synergies, évidemment, là-dedans. SaaSpasse tout court. Mon autre grosse idée, c'est basically, je ne vais pas le sugarcoater, c'est basically TinySeed, mais au Québec. TinySeed, c'est un fonds d'investissement qui est aussi un accélérateur pour des compagnies mostly bootstrapped. Le play, c'est un petit peu dur. Ces gens-là veulent dérisquer un tantinet. lancer un SaaS, le chaos du début, genre pré-PMF et tout ça, ou même les risques après ça. Ils veulent dérisquer un petit peu ça sans laisser aller partir la majorité de leur équité en gardant beaucoup, beaucoup de gouvernance de leur côté. T'as une idée de fonds d'échec, à valider, je pense, entre 100 et 300 000, ils prennent une quantité limitée d'équité, mais ils encadrent et encouragent les founders dans un réseau et une communauté de feu avec des mentors de feu. Tout le monde sortit par le haut. Il y a un time preference qui n'est pas trop hardcore sur les retours. Je pense que Tennessee peuvent se payer soit via des dividendes de profit à double valider ou quand il y a des exits de ces SaaSes. Ils peuvent mettre des caps sur différents trucs. C'est un modèle qui m'intéresse vraiment beaucoup. J'en parle à droite à gauche avec du monde. Je me suis dit Fuck it, je vais juste en parler sur le podcast. Si le monde a de l'intérêt ou des idées par rapport à ça, je suis DM. Ou hit me up. Très long terme, puis là, on est dans le plus philosophique, un peu plus visionnaire. J'aimerais ça peut-être qu'on lance une école. Une école pour apprendre aux gens à construire des compagnies sur Internet, à faire de l'argent grâce à Internet. Ça sonne crassement scammy puis porn-ish, mais vous comprenez je pense ce que je veux dire. Comment builder des produits numériques, comment les commercialiser, comment construire des compagnies, tout ça. Mettons qu'on avait une école qui apprendrait ça, je trouverais ça complètement insane. C'est à moitié un rêve que j'ai volé à Georges. Georges Saas il avait un rêve similaire par rapport à une école d'entrepreneuriat. Il y a eu des modèles aussi qui ont été déployés, que ce soit au Québec ou ailleurs. Mettons, des écoles au niveau, je pense, plus de dev et tout ça. Il y a quelque chose là. L'idée est brouillon, l'idée est très loin, donc elle n'est pas claire, mais il y a quelque chose là d'intéressant. Sinon, si tous les plays qu'on fait... et la richesse qu'on génère, la valeur qu'on génère à travers ça vont bien. Pouvoir créer un OBNL qui redonne dans une cause qui, moi, m'intéresse et qui, moi, personnellement, me tient à cœur, ça, j'aimerais ça. Ce serait un good feeling Après ça, il y a des trucs un peu plus boring des investissements un peu plus boring comme de l'immobilier, par exemple. Sinon, un media holding quelque chose d'un petit peu plus gros par rapport à la formule compagnie de production multimédia, mais aussi holding de différents... différentes branches là-dedans. C'est juste des idées. Je me suis dit, fuck it, c'est le centième épisode, j'y vais, yolo, puis je parle de tout ce qui me passe à travers la tête. On est pas mal rendu à closer ça. Je veux juste dire merci, merci à tout le monde qui m'ont donné du feedback sur le positif constructif. Merci au monde qui sont venus aux events, à tous les guests qui sont venus sur le pod, au monde qui ont shareé notre content, engage avec notre content, au monde qui sont venus aux retraites privées. Écoutez, continuer de participer et d'engager et de me donner votre feedback. Vous n'avez pas idée à quel point ça feel good quand il y a un employé ou un fondateur en SaaS ou une fondatrice qui me DM ou qui me partage un témoignage du genre Hey, ce que tu as fait dans tel épisode ou pour tel event, ça a généré tel résultat ou ça m'a fait sentir de telle manière pour moi et merci. Ce genre de truc-là, ça booste la motivation. Une fois 10, on se les partage à l'interne sur Slack. c'est un privilège honnêtement d'avoir cette job là entourée du genre de monde comme vous autres merci de me permettre de pouvoir faire ça c'est fucking nice je vais finir avec mes shameless plugs pis là à attacher votre tic avec de la broche j'en ai une couple Si vous faites une des choses qui suivent, ça nous aide vraiment beaucoup. Genre plus que vous pensez. Fait que s'il vous plaît, faites minimum une des choses qui suivent. Un, les reviews sur Apple Podcasts puis Spotify. Sur Apple Podcasts, tu peux écrire un review textuel aussi. Ceux-là, on va les feature carrément sur la page sasports.com slash podcast. Puis sur Spotify, je pense que c'est les stars. Allez, s'il vous plaît, laissez un review si vous avez aimé le show, si le show vous a aidé. Deux, feedback et suggestions d'invités pour le podcast, a.k.a. les Pokémon rares. Vous pouvez me faire des intros si vous voulez ou juste m'en suggérer. J'ai expliqué plus tôt ça, on passe à l'autre. Trois, suivez-nous sur LinkedIn, sur Instagram et sur YouTube. Littéralement, linkedin.com, allez, SaaSpasse dans le search. Même chose sur YouTube, même chose sur Instagram. Suivez-nous là-dessus. Ça nous aide d'augmenter le follower count. Pour plusieurs raisons. Puis ça aide d'autres monde à le trouver aussi, le content. OK. Je suis rendu à quatre, je pense. Les jobs. Si vous voulez appliquer sur une job, prenez le temps d'aller voir ce qu'il y a sur le job board de SaaSpasse. Si vous voulez embaucher pour une personne, une candidate en particulier, allez poster votre job, c'est gratuit. SaaSpasse slash emploi avec un S. Les partners. J'en ai parlé plus tôt. Si vous pensez pouvoir, mettons, vous qualifier comme partner SaaSpasse certifié. écrivez-moi françois.SaaSpasse.com. La retraite pour fondateur, ça s'en vient, la prochaine est 18-19-20 octobre. On a quelques candidatures, il reste de la place, SaaSpasse.com.retraite avec un S. Si vous êtes un founder entre 100 000 et 1 million de revenus annuels récurrents, prenez la peine de checker cette URL-là ou de m'écrire si vous avez des questions. Si vous connaissez des founders qui pourraient fêter pour ça, envoyez-les de notre côté. Finalement, le prochain événement à SaaSpasse aura lieu le jeudi 5 septembre. à Montréal, chez Coveo Montréal. Vous allez juste aller sur saspace.com et il y a une bannière mauve au top de la home page. Vous pouvez cliquer là ou sinon sur Evenbride pour chercher SaaSpace. On a déjà vendu une coupe de billets. Par le temps que notre podcast sort, il va peut-être en rester, mais allez-y et amenez du monde qui ne connaisse pas SaaSpace. Encore une fois, merci pour tout. Signing off pour le centième épisode. Je suis volé. Bye-bye.
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